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surplomb n.m. GÉOGR. ALP. - TLF, cit. R. alpine, 1898 (même texte) ; RSp., 1937, Blanchet ; Lex.[79], ø d ; in Ga [1970].
1886 - «[...] en grimpant sur nos épaules, l'un des guides croit apercevoir le fer du piolet, mais le rocher surplombe, et, obligé de se tenir à une saillie au-dessous du surplomb, il ne peut essayer le vulgaire rétablissement sur les coudes qui semble tout indiqué, qui réussirait peut-être, mais qui, en cas d'insuccès, nous enverrait tous dans un monde meilleur.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1885, 69 (Paris) - C.T.
1898 - «Nous grimpons d'abord tout droit, dans un mur à peu près vertical ; puis, arrêtés par un surplomb, nous suivons une apparence de corniche qui monte obliquement vers le Sud [...]» R. alpine, numéro 6, juin, 166 - C.T.
*1923 - «La Martinswand, au fond du Frankental, est plus sérieuse. Suivant le point d'attaque de la muraille on a le choix entre une excellente cheminée avec bloc coincé et petit surplomb, ou un 'à flanc' presque impressionnant, aux prises sûres mais espacées.» La Montagne, numéro 159, févr., 47 - C.T.
*1927 - «[...] nous escomptons un succès rapide, à condition toutefois que l'inquiétant surplomb du bloc sommital puisse être tourné [...]» La Montagne, numéro 201, avr., 100 - C.T.
surplomb (faire -) loc. verb. GÉOGR. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Une partie de la descente de ce mur de glace fait surplomb.» La Montagne et alpinisme, numéro 22, avr., 43 - C.T.