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substratum n.m. d'apr. lat. BIOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF"tout support" : TLF, cit. Poincaré, 1905.
1897 - «Influences stéréotropiques (c'est-à-dire du substratum solide).»G. Poirault, c.r. : A. Labbé, L'hétéromorphose, in L'Année biol., 214 (1899) - A.R.
substratum n.m. d'apr. lat. GÉOL. - PR[73], fin 19e ; TLF, cit. Vidal de La Blache, 1908.
*1913 - «Sur cette immense étendue de plus d'un million de kilomètres carrés, formant un socle presque exclusif de roches archéennes, on ne rencontre nulle part de hauteurs notables ; les points qui dépassent 300 mètres y sont très rares, et cependant, dans le détail, le substratum rocheux et la surface elle-même sont extraordinairement tailladés et accidentés.» Parmentier et Zimmermann, trad. : O. Nordenskjöld, Le Monde polaire, VIII, 275 - R.R.
substratum n.m. d'apr. lat. LING. - FEW (12, 362a), GR[85], 1882 ; absent TLF.
1846 - «Or cette activité ne peut pas subsister seulement en état de puissance, sans partir d'un sujet quelconque, sans avoir un substratum, comme disent les philosophes : ce substratum, c'est la langue même, qui modifie selon son génie les mots d'une autre nature qu'elle est forcée de recevoir [...]» E. Van Bemmel, De la Langue et de la poésie provençales, 95 (Bruxelles, Vandale) - J.S.