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ciel ! mon mari ! loc. interj. EXCLAM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1808 - «Mad. DENIS. Ciel ! mon mari ! » Simonnin et Brazier, Monsieur et Madame Denis, 19 (Barba) - P.E.
1851 - «ANAIS. - Ciel ! mon mari ! ...» Labiche, Un Chapeau de paille d'Italie, in Labiche, Théâtre, II, 303 (Garnier-Flammarion) - P.E.
1865 - «HERMINIE, tremblante. Ciel ! mon mari ! ...» H. de Kock, Le Guide de l'amoureux à Paris, 235 (Faure) - P.E.
ex-mari n.m. FAMILLE "celui qui n'est plus le mari" - GR[85], TLF, ø d.
1816 - «"Comment, s'écrie l'ex-mari, je ne le reconnaissais pas", et aussitôt d'accourir et de faire à son successeur heureux les plus grandes prévenances et de l'engager à dîner au nom du roy.» Marquise de Montcalm, Mon journ., 26 mai, 160 (Grasset, 1936) - R.R.
mari n.m. RELIG. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1825 - «Cela fait, il [le prêtre] mit à mon doigt un anneau d'or bénit, m'attacha sur la tête un petit morceau d'étoffe blanc et noir, long comme le doigt, que les chanoinesses appeloient un mari.» Mme de Genlis, Mém., t. 1, 16 (Londres, Colburn) - R.R.
suave adj. AFFECT. "fig." - Gc, FEW (12, 326b), 1540 ; PR[73], 1541 ; DG, 1549, R. Est. ; ND3, fin 16e ; BW5, déb. 17e ; L, 17e.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1490 - «Si deit : Sire, s'a faict faire Eve, / Qui m'a induit à ce et deceu, / Par son faulx lenguaige suave, / Dont j'ay mon meffait apparceu.» Martial d'Auvergne, Matines de la Vierge, 12 (T. litt. fr., 1970)
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