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comic strip n.m. d'apr. angl.-amér. LITT. "bande dessinée" - GR[85], 1967 ; DA[82], cit. Le Point, 1972 ; absent TLF.
1949 - «Ainsi se différencient nettement les comic-strips des comic-books. Les strips publiés dans les journaux sont destinés aux adultes et s'en prennent à des ennemis réels : maris, épouses, patrons, policiers, formes variées de la contrainte sociale [...] Les comic-books s'adressent aux enfants et leur contenu s'apparente essentiellement à celui du rêve.» H. Robillot, trad. : G. Legman, Psychopathologie des 'comics', in Les Temps modernes, mai, 917 - M.C.
poker n.m. d'apr. angl. JEUX CARTES - FEW, ND2, PR[67], BW5, 1858.
• pocker
Corr. et compl.TLF (poker, mêmes réf., ø texte)
1855 - «On jouait le pocker [...]» M. de Fontenay, L'Autre monde, 115 - P.G.
strip-poker n.m. d'apr. angl.-amér. JEUX CARTES - Lex.[79], v.1950 ; TLF, cit. B. Blier, 1972.
1929 - «Au strip-poker les partenaires font abandon comme enjeu de leurs accessoires de toilettes et sortent dans la tenue d'Adam et Eve au paradis.» R. Michaud, Ce qu'il faut connaître de l'âme américaine, 101 (Boivin) - P.E.
strip-tease n.m. d'apr. angl. SPECT. - GR[85], TLF, 1949, R. Fallet ; DAH (strip Hase), 1950 ; DMC, v.1950 ; GLLF, DA[82], 1954 ; FEW (18, 120b), 1963, Lar.
• striptease - TLF, cit. Le Figaro TV Magazine, 1987.
1947 - «Elle garde pendant un certain laps de temps la pose de 'la beauté qu'on vient d'arracher au sommeil', puis se rhabille, lentement, méthodiquement, toujours devant l'aréopage restreint et, peut-on présumer, charmé. Vous me direz qu'un tel spectacle avait déjà fait fureur dans les shows de Broadway - (on donna à cette danse suggestive le nom de striptease) - et que nous l'avons même vu à Paris. Mais il était exécuté sur une scène et, le plus souvent, le nu était habilement et pudiquement camouflé, truqué pour tout dire. Ici, la femme nue et ses admirateurs étaient réunis dans l'intimité d'une pièce minuscule, ce qui donnait à la vision un piment singulier [...] Mr. Dugan déclare que le nombre des spectateurs au striptease d'Élisabeth devait être de six ou sept hommes.» G. London, Voy. autour de mes chambres, 240-1 (La Jeune Parque) - J.-P.C.
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