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steeple n.m. d'apr. angl. ACTION "fig." - FEW, BW5, ND2, 1885 ; absent TLF.
1842 - «Aussi le dôme de l'Institut est en ce moment mon steeple, c'est à dire le but de ma course.» Le Charivari, 1er déc., 1 - Z. rom. P., 86, 338.
steeple n.m. d'apr. angl. TURF - FEW, BW5, ND2, 1885.
Compl.PR[67] (1866), TLF (mêmes réf., ø texte)
1866 - «Je commence par Mme la baronne de M. [...] dont la boîte osseuse a été légèrement endommagée dans un steeple.» La Vie parisienne, 368 - Z. rom. P., 80, 547.
steeple n.m. d'apr. angl. ATHLÉT. - TLF, 1889, G. de Saint-Clair, d'apr. DAH ; PR[72], ø d.
*1933 - «Vainqueur du 3.000 steeple [...]»L'Auto, 1er août - IGLF
*1934 - «[...] j'étais certain de n'avoir point à me mêler au steeple. De Scève franchit des haies, des fossés [...]»Vercel, Capitaine Conan, 184 (A. Michel) - CRTLF
steeple n.m. d'apr. angl. ATHLÉT. - TLF, 1889, G. de St-Clair ; DDL 6, 1933, L'Auto ; PR[77], ø d.
*1927 - Le Miroir des sports, XVII, 83a, Légende - R. L. rom., 40, 234.
steeple n.m. d'apr. angl. ATHLÉT. "course de fond" - TLF, 1889, G. de St-Clair ; DDL 18, 1927 ; DA[80], 1933 ; R, PR[77], ø d.
*1922 - «Je sais bien qu'on ne court pas de steeple aujourd'hui. Pourtant, j'ai la sensation que les coureurs vont sauter la haie qui me protège, retomber dans le fossé où je suis étendu, avec leurs pointes de fer enfoncées dans mon visage et dans mon corps.» Montherlant, in NRF, numéro 122, nov., 577 - P.E.
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