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steak n.m. d'apr. angl. CUIS. - TLF (attest. isolée "tranche de chair à griller"), 1848 ; GLLF, DA[80], 1911, Hémon ; R, av. 1913, Hémon ; PR[77], 1925 ; Lex.[75], v. 1960.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1872 - «J'avais dîné au Clock Taverne. Steaks, chops, stout (en français on prononce porter), tout est 'capital'.» Le Temps, Chronique de Paris, 1er janv - J.Hé.
steak n.m. abrév. de beefsteakCUIS. - DDL 20, TLF, 1872, le Temps ; GLLF, DA[82], 1911, L. Hémon ; Lex.[75], v. 1960.
• stèque - GR[92], cit. Queneau [1965] ; absent TLF.
*1966 - «Le moindre stèque sous le manteau ... clac ! à nos poignets d'étincelantes menottes !» Boudard, Les Matadors, 210 (Plon) - K.G.
*1974 - «Il n'avait pas la moindre idée du prix du stèque.» Boudard, Cinoche, 221 (La Table Ronde) - K.G.
steak n.m. d'apr. angl. CUIS. "tranche de poisson" - TLF, 1848, Delessert.tranche de viande : DDL 20, TLF, 1872, Le Temps ; DAH, TLF, 1894, Journ. de la cuisine ; GLLF, DA[82], 1911, Hémon ; R, av. 1913, Hémon ; PR[82], 1925 ; Lex.[79], v. 1960.
1848 - E. Delessert, Voy. dans les deux Océans, 156 (Paris) - R. L. rom., 46, 458.
steak frites loc. nom. m. CUIS. - TLF, Dict. 19e ; GR[92], ø d.
• stèque-frites - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1979 - «[...] on ne rêvait [...] que de stèques-frites, calendos, bananes [...]» Boudard, Le Corbillard de Jules, 59 (La Table Ronde) - K.G.
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