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somali n.m. d'apr. afr. LING. - TLF, 1883, L. Rinn ; GLLF, 1904, Lar. ; GR[85], ø d.
• ssomal
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1853 - «En première ligne [des idiomes] se présentent le tögr-jana et le tögray ; puis la langue du Gouraghé au sud-ouest, l'adari dans le Harar, le gafat à l'ouest du lac Tzana, l'ilmorma, en usage chez plusieurs tribus gallas, l'afar et ses deux dialectes ; le saho, le ssomal, le sechuana et le wanika. Toutes ces langues présentent des caractères nettement sémitiques.» Gobineau, Essai sur l'inégalité des races humaines, in Gobineau, Oeuvres, vol. 1, 383 (Pléiade, 1983) - J.S.
Somali n. N. PEUPLE - TLF, Lar. 19e ; GLLF, GR[85], ø d.
• Samaulies
  n. pl. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1824 - «Somaulies ou Samaulies (les), peuple d'Afrique qui habite à l'O. du cap Gardafui. Ils passent pour paisibles, inoffensifs et industrieux.» J. Mac Carthy, Nouv. dict. géographique universel (Libr. nat. et étr.) - TGLPF
Somali n. N. PEUPLE - TLF, Lar. 19e ; GLLF, GR[85], ø d.
• Somaulies
  n. pl. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1824 - «Somaulies ou Samaulies (les), peuple d'Afrique qui habite à l'O. du cap Gardafui. Ils passent pour paisibles, inoffensifs et industrieux.» J. Mac Carthy, Nouv. dict. géographique universel (Libr. nat. et étr.) - TGLPF
Somali n. N. PEUPLE - TLF, Lar. 19e ; GLLF, GR[85], ø d.
• Saumali
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1842 - «[les négociants indiens] achètent les esclaves que les Danakiles ou les Saumalis amènent du sein des tribus les plus féroces des Gallas [...]» R. d'Héricourt, let., 14 nov., in R. de Franche-Comté, 2e semestre, 67 (1843) - M.C.
somali adj. GÉOPOLIT. - GR[85], 1875 (?) ; GLLF, TLF, 1883, Rimbaud.
• saumali
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1865 - «D'où viennent les noirs qui sont répandus et qui se répandent encore tous les jours en Arabie ? De l'immigration libre et de la traite. Il arrive sur la côte orientale de la Mer-Rouge un assez grand nombre de noirs saumalis et abyssins qui y sont librement attirés par la facilité de se procurer les moyens d'existence dont ils sont dépourvus chez eux ; mais c'est la traite qui est le grand pourvoyeur de sang africain, surtout de femmes noires.» A. d'Avril, in R. des deux mondes, t.60, 1er nov., 112 - M.C.