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alpin (skieur -) loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Technique non seulement dans la manoeuvre du ski, mais dans la connaissance de l'état de la neige, des conditions atmosphériques, dans le choix des itinéraires sur la carte, dans tout. Ces divers aspects du problème sont étudiés magistralement dans les chapitres : l'hiver alpin, la neige et les avalanches, la nouvelle tactique, l'équipement, la technique du skieur alpin.» R. alpine, vol. 26, numéro 4, 175 - C.T.
alpiniste skieur, alpiniste-skieur n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Nous autres, membres militants du Club des Sports Alpins, nous considérons le ski surtout comme un merveilleux moyen de courir les grandes Alpes pendant la saison d'hiver : nous sommes des alpinistes-skieurs [...] notre route est souvent coupée par des falaises de granit qu'il faut escalader ; les jours sont courts, les nuits dangereuses, nos étapes longues et parsemées de difficultés imprévues ; ici, nous foulons de la bonne neige poudreuse, là, nous nous cramponnons sur des pentes verglacées.» R. alpine, numéro 4, avr., 118 - C.T.
1908 - «[...] le vrai champ non seulement des manoeuvres locales, mais des courses à grande distance, l'alpiniste skieur ne pourra le trouver mieux [...] que dans la partie Ouest de l'Oberland Bernois [...]» La Montagne, numéro 4, avr., 154 - C.T.
1925 - «Au-dessus d'un certain degré de difficulté qui est assez vite atteint, les montagnes exigent, de ceux qui veulent les gravir en hiver, de sérieuses qualités d'alpinistes. Il faut être alpiniste-skieur et non seulement skieur.» La Montagne, numéro 187, déc., 18 - C.T.
automobiliste-skieur n.m. LOISIRS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Une route dont les travaux sont en cours permettra sous peu l'accès de Superbagnères à l'automobiliste-skieur, type d'homme soucieux par définition de ne pas perdre son temps.» La Montagne et alpinisme, n° 25, déc., 161 - C.T.
billet du skieur loc. nom. m. CH. DE FER SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1917 - «[publicité du Chemin de fer Aigle-Sépey-Diablerets] Billet du skieur, valable le samedi et le dimanche.» H. Faes et P.-L. Mercanton, Le Man. du skieur, 119 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
bivouac skieur loc. nom. m. ALP. "tente" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «'Bivouac skieur', 2 m. + 0,40 d'abside x H 1 m.» La Montagne et alpinisme, numéro 49, oct., Publ - C.T.
brevet de skieur loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1927 - «Dans l'armée, l'institution se précisa et se développa d'année en année : puis vinrent les concours, puis la création du brevet de skieur et l'examen à passer.» Bull. de l'Acad. delphinale, 5e série, t.18, 38 - M.J.
campeur-skieur n.m. CAMPING SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «Et puis, trêve de littérature, campeur-skieur, mon frère de demain, puisque je te dis que c'est là-haut, dans ce camp, et que c'est encore là-haut dans d'autres camps à venir, que j'ai senti et que je sentirai encore à quel point je reste, malgré l'automobile, malgré le cinéma, le stylo, le complet veston, le fils de l'homme des cavernes qui a déjà gîté sur ce glacier de Jungfraujoch.» La R. du ski, n° 3, févr., 55 - C.T.
chalet-skieur n.m. HÔTELL. - RSp.(néol.), 1965, La Montagne ; absent TLF.
1920 - «Chalet-Skieurs du C.A.F. au Recoin.» La Montagne, numéro 140, janv.-févr., 34 - C.T.
1954 - «SIX CHALETS-SKIEURS - En été, l'alpiniste qui ne veut, ou ne peut loger à l'hôtel a toujours la ressource de camper. En hiver, par contre, maint skieur souhaiterait trouver un intermédiaire raisonnable entre l'hôtel et le camping sur neige. Cet intermédiaire existe : c'est le chalet-skieur. Utile de la sorte aux pistards désargentés, celui-ci devient indispensable à tous ceux qui désirent éviter les grandes stations au profit d'excursions en montagne.» La Montagne, numéro 369, déc., 132 - C.T.
chasseur-skieur n.m. MILIT. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «La France était représentée par une équipe de chasseurs-skieurs composée du lieutenant Faure, du sergent Cohendoz et des chasseurs Morand et Sibué.» La R. du ski, n° 3, mars, 76 - C.T.
guide skieur, guide-skieur n.m. MÉTIER SKI - DDL 27, 1908, La Montagne ; absent TLF.
1898 - «[...] il n'existe presque pas de guides pratiquant le ski [...] Mais il est bien clair, que tant que nous n'aurons pas de guides skieurs, ce merveilleux patin ne trouvera pas l'emploi étendu qu'il mérite [...]» L'Echo des Alpes, 386 - M.J.
1905 - «Plusieurs guides sous la conduite de Jules Favre, retour du 13me chasseurs, se livrent à des exercices de skis et bientôt notre station sera dotée d'une compagnie de guides skieurs [...]» R. alpine, 389 - M.J.
*1909 - «Le 14 mars a eu lieu un concours régional de ski à Pralognan qui a démontré que notre station alpestre ne restait pas en retard et que l'on y trouvera désormais de bons guides skieurs.» La Montagne , n° 4, avril, 244 - C.T.
*1917 - «Le nombre des montagnards pratiquant le ski augmente chaque année, le Club alpin suisse (C.A.S.) et l'Association suisse des Clubs de ski (S.S.V.) ayant institué des cours spéciaux, conférant le diplôme de 'guide-skieur'.» H. Faes et P.-L. Mercanton, Le Man. du skieur, 78 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
guide-skieur n.m. ALP. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «[...] aujourd'hui le ski est lancé dans la Haute Ariège ; le C.A.F. y compte même un guide-skieur de mérite.» La Montagne, numéro 3, mars, 47 - C.T.
1973 - «Egalement moniteur de ski et guide-skieur, il [A. Chapelland] assure de nombreuses courses et hautes routes dans plusieurs massifs jusque dans les Dolomites et des escalades en Tunisie.» La Montagne et alpinisme, numéro 93, 3, 124 - C.T.
gîte skieur loc. nom. m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Il est évident que le gîte skieur doit, même sans luxe, être aménagé pour compenser les inconvénients du froid, des longues étapes, du brusque changement de temps inhérent à la saison.» Ski-Sports d'hiver, n° 1, oct., 5 - C.T.
hôtel-skieur n.m. HÔTELL. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - «[...] les plans de BONNAT pour un 'hôtel-skieur' [...]» La Montagne, numéro 236, janv., 39 - C.T.
itinéraire-skieur n.m. SKI - RSp. (s.v. skieur), 1965, Le Ski fr. ; absent TLF.
1930 - «[...] carte 95 X 75 au 50 000e en couleur et courbes avec tracés d'itinéraires-skieurs, avalanches, etc.» La Montagne, n° 11, sept.-oct., 327 - C.T.
maître-skieur n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Les soussignés, maîtres-skieurs de l'Arlberg, qui admirons et estimons Allais, le classons sans discussion dans l'élite des skieurs internationaux et déclarons que son style et sa technique ne peuvent en aucun cas être comparés à ceux de Tony Ducia, dont la classe est très inférieure.» La R. du ski, n° 3, mars, 95 - C.T.
1936 - «Cependant la protestation des 'maîtres-skieurs' de St-Anton, elle aussi, ne reste pas dans une mesure rationnelle.» Ski-Sports d'hiver, n° 38, mars, 192 - C.T.
montagnard-skieur n.m. ALP. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1971 - «Puis, ce fut le début de la pénétration anglaise avec la visite du montagnard-skieur Colin Wyatt [...] A l'Erdouz, le groupe de montagnards-skieurs devra être plus autonome qu'au Toubkal ; le couchage dans des conditions de emi-bivouac et le portage des skis par les membres de l'expédition étant à envisager [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 81, févr., 19 et 23 - C.T.
non-skieur n.m. SKI - RSp. (s.v. vélo-ski), 1970 ; GR[85] (s.v. véloski), 1973 ; absent TLF.
1910 - «Pour les non-skieurs, l'excursion s'effectuera en chemin de fer [...]» La Montagne, n° 12, déc., 713 - C.T.
1920 - «Il [le C.A.S.] hâterait aussi la dissolution des groupes de skieurs que nous ne considérons que comme un organisme transitoire pour accomplir la soudure entre la génération des non-skieurs et celle qui trouvera la reconnaissance du ski aussi indispensable pour l'alpiniste que l'usage du piolet et de la corde [...]» L'Echo des Alpes, 123 - C.T.
non-skieur adj. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1920 - «Nous nous plaisons à reconnaître que nos collègues non-skieurs nous ont toujours témoigné beaucoup d'intérêt et de bienveillance.» L'Echo des Alpes, n° 4, avr., 121 - C.T.
rallye skieur, rallye-skieur n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF. rallye : RSp., 1969, Ski fr. ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1934 - «Rallye-skieur du col de la Cayolle. - Les 28-29 avril dernier, la Fédération de Ski de la Côte d'Azur avait organisé pour la première fois un rallye à skis en haute montagne, qui devait réunir au col de la Cayolle, à l'extrémité de la vallée du Var, tous les clubs environnants.» La R. du ski, n° 6, juin, VII - C.T.
1958 - «[...] le deuxième rallye skieur du Queyras aura lieu du 27 au 30 mars prochain.» La Montagne et alpinisme, n° 16, févr., 186 - C.T.
randonneur-skieur n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «Lorsque, au cours de la saison 1952-1953, une note émanant de Robert Faure, et lue dans les différents comités régionaux, pria lesdits comités d'étudier un Brevet de Randonneur Skieur, la plupart des auditeurs pensèrent qu'il y avait déjà trop de notes, trop de commissions, trop de projets, et pas suffisamment de bonnes volontés pour les exécuter...» Ski fr., n° 133, déc., 25 - C.T.
refuge-skieur n.m. ALP. HÔTELL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Refuge-skieur de la Coume de Bourg (2325 m.). Ce refuge va donc donner la possibilité de faire l'hiver les ascensions des pics qui couronnent la vallée du Lys [...]» La Montagne, numéro 209, févr., 63 - C.T.
skieur n.m. SKI - GLLF, RSp., GR[85], 1904, Lar. ; FEW (17, 108b), 1905.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1896 - «Chaque année, nos intrépides skieurs franchissent ainsi le Pragel Pass sur d'énormes masses de neige, et cela sans l'ombre d'une difficulté.» L'Echo des Alpes, 50 - M.J.
1896 - «L'état du temps a laissé beaucoup à désirer, mais celui de la neige, en revanche, a été des plus satisfaisants pour les skieurs.» Le Moniteur dauphinois, 26 déc., 1 - M.J.
*1897 - «Arrivés au Sappey vers dix heures, les skieurs chaussent immédiatement leurs patins et remontent péniblement vers le col de Parte [sic] [...]» Le Moniteur dauphinois, 6 févr - M.J.
*1897 - «Vers onze heures du matin, on a vu arriver l'intrépide skieur sur le plateau des Cheyres (2.052 m) et à deux heures on l'apercevait au sommet, près de la Croix de la Chapelle.» La Durance, 14 févr., cité in La R. du ski, n° 3, févr., 57 - C.T.
*1898 - «Les skieurs dauphinois apprendront avec intérêt que deux de leurs collègues ont pu atteindre, avec des skis norwégiens, l'altitude de 4,200 mètres dans le massif du Mont Rose. La descente jusqu'à Zermatt (2,600 de différence de niveau) s'est effectuée en une heure et demie au lieu de la durée habituelle de sept heures.» R. alpine, 147 - M.J.
*1903 - «Et puisque nous empruntons ces mesures à nos collègues italiens, pourquoi ne leur emprunterions-nous pas aussi ce mot si facile et si élégant de 'Skiator' qui sonne bien mieux à des oreilles latines que le vilain mot de 'Skieur' que l'on emploie chez nous faute d'en avoir trouvé... ou cherché... un autre ?» R. alpine , n° 3, mars, 71 - M.J.-C.T.
skieur adj. SKI - RSp. (itinéraire -), 1965 ; absent TLF.
1898 - «[...] il n'existe presque pas de guides pratiquant le ski [...] Mais il est bien clair, que tant que nous n'aurons pas de guides skieurs, ce merveilleux patin ne trouvera pas l'emploi étendu qu'il mérite [...]» L'Echo des Alpes, 386 - M.J.
skieur adj. SKI - RSp. (itinéraire -), 1965 ; absent TLF.
Au fém. 1910 - «La gent skieuse, en foule, se porte sur la montagne au-devant du printemps, dont les Norvégiens reçoivent sur skis les premières caresses.» La Montagne, n° 2, févr., 66 - C.T.
1930 - «[...] ah ! cette joie de se sentir tout à coup si haut dans les montagnes, si sportive, si skieuse en plein milieu de ce col dangereux de la Schlucht.» La R. du ski, n° 2, févr., 45 - C.T.
1936 - «Ce miracle, ce paradoxe inimaginable d'une activité skieuse partant de la mer pour gagner les montagnes, c'est la Fédération Provençale qui l'a fait.» La R. du ski, n° 8, oct., 224 - C.T.
skieur alpin loc. nom. m. ALP. SKI - DDL 27, 1925 ; absent TLF.
1898 - «Mais si le lauparsko convient parfaitement aux conditions climatiques de la Norvège, il ne vaut rien pour le skieur alpin.» L'Echo des Alpes, 393 - M.J.
*1930 - «[...] je n'ai vu aucune portion de ces parcours de fond qu'un skieur alpin de deuxième ordre n'eût pu descendre tout droit sans le moindre risque de chute. Ce qui distingue un bon skieur alpin, c'est son aptitude à descendre en virages rapides à grand rayon les pentes trop raides pour être prises tout droit.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, 6 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
skieur alpiniste, skieur-alpiniste n.m. ALP. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «[...] le phoque a été créé et mis au monde pour les besoins du skieur alpiniste ! En effet la fourrure de cet amphibie est éminemment propre à diminuer le recul du ski à la montée.» R. alpine, numéro 4, avr., 117 - C.T.
1906 - «[...] des pentes de neige pour le ski à proximité du village même, enfin les magnifiques champs du Mont Blanc pour les skieurs alpinistes font que Chamonix peut rivaliser avec n'importe quelle station d'hiver.» La Montagne, numéro 12, déc., 581 - C.T.
1950 - «Walther Flaig : 'Das Silvrettabuch' : Souvenirs d'un skieur-alpiniste. 50 photos et cartes (Munich 1940).» La Montagne, numéro 347, janv.-mars, 20 - C.T.
skieur d'hôtel, skieur d'hôtels loc. nom. m. plais. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1929 - «'Le grand tourisme à ski'. Petite note où nous retenons une classification amusante et judicieuse, du Comte de TOCQUEVILLE qui distingue : le skieur d'hôtel (celui qui couche toujours au même endroit et ne consacre journellement que très peu de ses loisirs au sport).» Bull. du Club alpin belge, n° 16, sept., cité in Ski-Sports d'hiver, n° 14, mars 1933, 326 - C.T.
1935 - «Les skieurs alpins constituaient autrefois une minorité très faible, bien distincte de la masse des skieurs sportifs, et de ceux que l'on appelait les skieurs d'hôtels. Aujourd'hui, un grand nombre de skieurs de toutes catégories viennent peu à peu et inévitablement au ski alpin, dont le champ est plus varié [...]» La Montagne, n° 272, oct., 322 - C.T.
1935 - «Ceux, très rares, qui paraissent préférer les joies du bar ou du bridge à celles du ski sont accusés 'd'avoir les skis à la retourne !' ou même se font traiter de 'skieurs d'hôtel'» Bull. de la section vosgienne du Club alpin, n° 12, 159 - M.J.
skieur d'été loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «[...] les joies du ski unies à celles de l'alpinisme ; les cabanes sans l'encombrement classique. Telle est la récompense du skieur d'été.» La Montagne, n° 10, juill.-août, 261 - C.T.
skieur de compétition loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1937 - «Ils étaient venus de tous les coins de France, dirigeants, skieurs de compétition et skieurs de tourisme, officiels et leurs familles, des Pyrénées aux Vosges, de Paris à la Côte d'Azur, de l'Auvergne et des Cévennes, des Alpes savoyardes et 'last not least' du Dauphiné.» Ski-Sports d'hiver, n° 49, oct., 17 - C.T.
skieur de course loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Un skieur de course doit apprendre à monter à pas longs et rapides. Cela est excessivement pénible et demande beaucoup d'entraînement. Peu nombreux sont ceux qui peuvent soutenir longtemps une cadence aussi rapide, mais si l'on veut gagner des courses de fond, cette technique est absolument nécessaire.» A. Couttet, A. Lunn, E. Petersen, L'Enchantement du ski, 36 (Ed. Alpina) - C.T.
skieur de descente loc. nom. m. SKI - GR[85], ø d ; absent TLF.
1930 - «Il est, bien entendu, à peu près impossible de devenir un skieur de descente de premier ordre sans prendre part à des courses. [...] Pour égaliser les chances du skieur de descente et du skieur de fond, il faut rapprocher non les distances de montée et de descente, mais les temps mis à les parcourir respectivement. Cela revient pratiquement à dire que, pour cent mètres de montée, il doit y avoir au minimum mille mètres de descente.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, Préf., V et 186 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1932 - «L'immense majorité des visiteurs de Corviglia ne sont ni des alpinistes ni des touristes ; ce sont des 'skieurs de descente'. Leur sport est la descente, et ils veulent rejoindre la vallée aussi vite qu'il leur est possible par tous les moyens. Le 'record' est leur idole.» Ski-Sports d'hiver, n° 9, 15 oct., 186 - C.T.
1933 - «Malgré cette importance secondaire du Télémark dont on ne se sert jamais en Arlberg, la position Fendue (de fente) offre de grands avantages pour le terrain et est indispensable dans le répertoire d'un skieur de descente. La position de fente consiste dans l'avancement extrême d'un ski et du déchargement de ce ski ainsi avancé.» K. Wick, Man. du ski de descente, 48 (Fasquelle) - M.J.-C.T.
1946 - «Actuellement ces arêtes artificielles sont devenues une nécessité ausi bien pour le skieur de tourisme que pour le skieur de descente.» La Montagne, n° 334, oct.-déc., 86 - C.T.
skieur de descente alpin loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Il est infiniment plus facile à un bon skieur de fond d'acquérir la technique de descente que vice-versa. Les skieurs de descente alpins auront fort à faire pour empêcher leurs titres de champions de sortir des Alpes.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, 18 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
skieur de fond loc. nom. m. SKI - TLF, RSp., GR[85], ø d.
1930 - «Il est infiniment plus facile à un bon skieur de fond d'acquérir la technique de descente que vice-versa. Les skieurs de descente alpins auront fort à faire pour empêcher leurs titres de champions de sortir des Alpes. [...] Pour égaliser les chances du skieur de descente et du skieur de fond, il faut rapprocher non les distances de montée et de descente, mais les temps mis à les parcourir respectivement. Cela revient pratiquement à dire que, pour cent mètres de montée, il doit y avoir au minimum mille mètres de descente.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, 18 et 186 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
skieur de glacier loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «En outre le skieur de glacier devra obligatoirement avoir dans son sac, un piolet.» A. Couttet, A. Lunn, E. Petersen, L'Enchantement du ski, 112 (Ed. Alpina) - C.T.
1954 - «Pour le skieur de glacier, ces séries de beaux jours peuvent être l'occasion de magnifiques randonnées [...]» La Montagne, n° 366, avr., 39 - C.T.
skieur de haute montagne loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «La phalange des skieurs de haute montagne se développe en France d'une façon satisfaisante depuis quelques années, mais combien de temps ne faudra-t-il pas pour faire pénétrer dans la masse la doctrine du ski de montagne telle que nous l'apportent Arnold LUNN et Marcel KURZ, résultat d'un quart de siècle d'observations.» La Montagne, n° 186, nov., 290 - C.T.
1938 - «Si vous êtes [...] SKIEUR DE HAUTE MONTAGNE 53 cols et sommets différents, avec départ et retour possible à VAL D'ISERE dans la même journée.» La Montagne, n° 301, oct.-nov., Publ., II - C.T.
skieur de montagne loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1929 - «Le skieur de montagne (pour lui, le repos cherché dans la neige est surtout obtenu par le contraste radical entre sa vie sportive et sa vie normale.» Bull. du Club alpin belge, n° 16, sept., cité in Ski-Sports d'hiver, n° 14, mars 1933, 326 - C.T.
1930 - «Enfin très gros point sur lequel j'insiste : le skieur de montagne doit avoir des chaussures ferrées comme en été, une semelle épaisse et peu souple.» A. Couttet, A. Lunn, E. Petersen, L'Enchantement du ski, 110 (Ed. Alpina) - C.T.
1946 - «Nous estimons que le skieur de montagne, qui évolue dans des neiges diverses, a besoin d'arêtes artificielles au même titre que le skieur de piste. Beaucoup de skieurs de montagne ont été réfractaires à l'arête artificielle parce qu'elle augmentait le poids des skis. [...] D'une façon générale, les conséquences d'un dérapage impromptu pouvant être parfois funestes, le skieur de montagne, appelé à évoluer au milieu des rochers, des arbres, des crevasses traîtresses, doit, plus encore que le coureur de descente, pouvoir placer un virage à un endroit précis ou exécuter un arrêt brusque devant un obstacle.» La Montagne, n° 334, oct.-déc., 86 - C.T.
skieur de piste loc. nom. m. SKI - TLF, ø d.
1936 - «Mais alors que mon fils est devenu un enragé skieur de piste, je trouve plus d'attrait à la longue randonnée en montagne.» La R. du ski, n° 7, sept., 198 - C.T.
1946 - «Nous estimons que le skieur de montagne, qui évolue dans des neiges diverses, a besoin d'arêtes artificielles au même titre que le skieur de piste. Beaucoup de skieurs de montagne ont été réfractaires à l'arête artificielle parce qu'elle augmentait le poids des skis.» La Montagne, n° 334, oct.-déc., 86 - C.T.
skieur de plané loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «En effet, dans la course de descente du Glockner, le temps moyen des skieurs de plané fut de 4'35 alors que celui des skieurs ordinaires atteignait 7 minutes.» La R. du ski, n° 11, déc., XIX - C.T.
skieur de plat loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «La plus élémentaire connaissance de la technique de plat ajoutera énormément à l'intérêt d'une journée d'excursion en montagne. L'ascension offre au skieur de plat des problèmes de technique passionnants.» A. de Gennes, trad. : A. Lunn, Le Ski alpin, 156 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
skieur de printemps loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1924 - «Une neige qui a été fondue, puis regelée plusieurs nuits de suite, acquiert bientôt un caractère cristallin. Lorsque la croûte commence à dégeler au soleil, la surface dégelée est composée de nombreuses formations cristallines mouillées. Cette neige granulée est familière à tous les skieurs de printemps, et est excellente pour le ski.» A.G., trad. : A. Lunn, Le Ski, 45 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1961 - «Cette région est principalement fréquentée par les skieurs de printemps, mais ces montagnes réservent cependant plusieurs ascensions intéressantes.» La Montagne et alpinisme, n° 33, juin, 83 - C.T.
Cf. skieur printanier
skieur de raid loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1949 - «Que ceux de nos camarades qui se targuent d'être, et uniquement, des skieurs de tourisme, de raid ou de montagne veuillent prendre la peine de regarder autour d'eux : ces coureurs, qu'ils croient confinés sur les pistes et incapables d'évoluer ailleurs et autrement qu'entre des petits drapeaux, ils les retrouveront partout, en montagne et en haute montagne, aussi capables et souvent plus qu'eux-mêmes, car, là comme comme en toutes choses, celui qui sait et peut le plus est rarement pris au dépourvu.» La Montagne, n° 345, juill.-sept., 66 - C.T.
1962 - «Rien n'est comparable à la vie du skieur de raid : l'air immobile et pur, le silence ou la tempête, la neige follement poudreuse, les solides amitiés scellées avec les compagnons.» La Montagne et alpinisme, n° 40, déc., 329 - C.T.
skieur de station loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «Si vous êtes seulement skieur de station, ce que vous avez est bien insuffisant. Comment compléter votre matériel judicieusement ?» La Montagne et alpinisme, n° 40, déc., 327 - C.T.
skieur de tourisme loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1937 - «Ils étaient venus de tous les coins de France, dirigeants, skieurs de compétition et skieurs de tourisme, officiels et leurs familles, des Pyrénées aux Vosges, de Paris à la Côte d'Azur, de l'Auvergne et des Cévennes, des Alpes savoyardes et 'last not least' du Dauphiné.» Ski-Sports d'hiver, n° 49, oct., 17 - C.T.
1946 - «Actuellement ces arêtes artificielles sont devenues une nécessité ausi bien pour le skieur de tourisme que pour le skieur de descente.» La Montagne, n° 334, oct.-déc., 86 - C.T.
1949 - «Que ceux de nos camarades qui se targuent d'être, et uniquement, des skieurs de tourisme, de raid ou de montagne veuillent prendre la peine de regarder autour d'eux : ces coureurs, qu'ils croient confinés sur les pistes et incapables d'évoluer ailleurs et autrement qu'entre des petits drapeaux, ils les retrouveront partout, en montagne et en haute montagne, aussi capables et souvent plus qu'eux-mêmes, car, là comme comme en toutes choses, celui qui sait et peut le plus est rarement pris au dépourvu.» La Montagne, n° 345, juill.-sept., 66 - C.T.
skieur de téléphérique loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - La R. du ski, n° 5, avr., 108 - C.T.
1938 - «Si je dévoile les raisons qui m'ont décidée, en cette veille de Noël 1937, à partir pour le col de Vars, je vais, c'est inévitable, être rangée dans la catégorie des 'skieurs-à-peaux-de-phoque' qui, comme chacun sait, s'oppose à la catégorie des 'skieurs-de-téléphérique'. [...] Et vous, 'skieurs-de-téléphérique', affûtez dès maintenant vos carres d'acier, l'on construit à Vars, à votre intention : hôtels, 'télé-autoski' et monte-pentes.» La R. du ski , n° 5, avr., 108 - C.T.
skieur de vitesse loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «Il quitte la Parsenn en négligeant le banc d'essai que peut être, pour un skieur de vitesse, la piste qui descend le long de la ligne du funiculaire [...]» Ski-Sports d'hiver, n° 31, avr., 374 - C.T.
1938 - «Si vous êtes [...] SKIEUR DE VITESSE. La descente de BELLEVARDE, 976 m. de dénivellation parcours standard idéal, rapide et de grande classe. Tracé sans obstacles presque entièrement visible des hôtels.» La Montagne, n° 301, oct.-nov., Publ., II - C.T.
skieur printanier loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «Cette neige granulée (névé) est familière aux skieurs printaniers et offre un charme incomparable.» Ski-Sports d'hiver, n° 54, mars, 147 - C.T.
Cf. skieur de printemps
skieur sauteur loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - «Le village-skieur record. - Le village de Sainte-Croix (Jura suisse) compte actuellement 30 skieurs sauteurs actifs.» La R. du ski, n° 4, avr., XI - C.T.
skieur sportif loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «Les skieurs alpins constituaient autrefois une minorité très faible, bien distincte de la masse des skieurs sportifs, et de ceux que l'on appelait les skieurs d'hôtels. Aujourd'hui, un grand nombre de skieurs de toutes catégories viennent peu à peu et inévitablement au ski alpin, dont le champ est plus varié [...]» La Montagne, n° 272, oct., 322 - C.T.
skieur touriste, skieur-touriste n.m. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Les carres Attenhofer ont donc résolu cet important problème [des carres] pour les skieurs-touristes.» La Montagne, n° 264, déc., Publ., p. de couverture - C.T.
1935 - «Nous avons intentionnellement laissé de côté toute question de technique du ski de compétition et du ski acrobatique, nous bornant strictement au ski tel que le pratique le skieur touriste et l'alpiniste.» P. Schnaidt, La Technique du ski, Avant-propos, 4 (Genève, Sonor) - C.T.
skieur à roulettes loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «Voici, sur la Promenade des Anglais, à Nice, un groupe de 'skieurs à roulettes' parmi lesquels on reconnaît T. Tangvald et F. Altari, vice-président du C.S.H.C.A., à qui l'on doit ce nouveau sport.» La R. du ski, n° 7, sept., 211 - C.T.
skieur-alpiniste n.m. ALP. SKI - DDL 27, 1905 ; absent TLF.
1904 - «La réussite d'un saut, dans ces circonstances, est très difficile. Il faut étudier préalablement le terrain, et, pour cette raison, cet exercice n'est pas très utile pour le skieur-alpiniste.» Man. d'alpinisme, 545 (L. Laveur) - C.T.
skieur-amateur n.m. SKI - In Ga [1969] ; absent TLF.
1910 - «S'il y a beaucoup de skieurs-amateurs, le nombre des alpinistes-skieurs est encore restreint [...]» R. alpine, 389 - M.J.
skieur-automobiliste n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «Le skieur-automobiliste toulousain, spécimen répandu, bruyant et sympathique, fréquente évidemment beaucoup Superbagnères qui n'est guère distant de plus de 135 km de la place du Capitole.» La Montagne et alpinisme, n° 25, déc., 161 - C.T.
skieur-bicycliste n.m. MILIT. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1907 - «[...] l'armée norvégienne ne possède que deux compagnies de skieurs-bicyclistes, changeant suivant la saison de moyen de locomotion [...]» La Montagne, n° 2, févr., 55 - M.J.-C.T.
skieur-campeur n.m. CAMPING SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «Le groupe des skieurs-campeurs ?... Une société pour l'étude scientifique de la belote dans les refuges de montagne ou la conquête de l'Himalaya ?... Non... quelques jeunes sportifs qui se sont rendus compte que le séjour dans les hôtels de haute altitude restait interdit à leur bourse modeste et qui se sont un beau jour demandés s'il ne serait pas possible de concilier la pratique du ski et du camping...» La R. du ski, n° 3, févr., 49 - C.T.
skieur-descendeur n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «La coquette station des Houches va connaître enfin son plein développement grâce au nouveau téléphérique qui rendra accessibles les admirables pentes dévalant du plateau de Bellevue - col de Voza-Prarion, supprimant aux skieurs-descendeurs les fatigantes et interminables montées.» La R. du ski, n° 10, Noël, XLI - C.T.
skieur-montagnard n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1964 - «Si les lignes précédentes sont destinées aux novices en ski de printemps, j'aimerais, pour terminer, m'adresser aux skieurs-montagnards confirmés, pour leur signaler une magnifique descente peu connue.» La Montagne et alpinisme, n° 46, févr., 185 - C.T.
skieur-randonneur n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1963 - «Le skieur-randonneur est plutôt un fondeur - très lent ! - mais recherchant des pentes beaucoup plus raides que des pistes de fond, des pistes où le plaisir de descendre est parfois égal à celui des pistards invétérés. Il ne jouit pourtant de sa descente qu'après l'avoir méritée autrement qu'en se laissant hisser par une mécanique, donc avec une satisfaction supplémentaire.» Ski fr., n° 134, janv., 15 - C.T.
skieur-à-peaux-de-phoque n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «Si je dévoile les raisons qui m'ont décidée, en cette veille de Noël 1937, à partir pour le col de Vars, je vais, c'est inévitable, être rangée dans la catégorie des 'skieurs-à-peaux-de-phoque' qui, comme chacun sait, s'oppose à la catégorie des 'skieurs-de-téléphérique'.» La R. du ski, n° 5, avr., 108 - C.T.
skieur-élève n.m. ENSEIGN. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Dans le fait d'habituer le skieur-élève plus ou moins tôt aux allures rapides, je ne vois qu'une question d'opportunité [...]» La R. du ski, n° 2, févr., 33 - C.T.
soldat-skieur n.m. MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1917 - «C'est ainsi que les patrouilles de soldats-skieurs se font parfois remorquer par des cavaliers.» H. Faes et P.-L. Mercanton, Le Man. du skieur, 34 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
1948 - «Nous croisons un soldat-skieur qui nous dit qu'il faut trois heures de montée pour aller du Belvédère à la Redoute.» Y. Lacroix, Ski de France, 53 (Chiron) - M.J.
touriste skieur loc. nom. m. TOURISME - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1899 - «C'est le 1er mars 1896, que, pour la première fois, à Grenoble, s'effectuait - en armes - une sortie collective de touristes skieurs.» Le Moniteur dauphinois, 30 juill., 4 - M.J.
1928 - «Rester, même peu de temps, en position de freinage accentuée suffit pour donner des crampes aux novices. Celui qui veut devenir un touriste-skieur sûr de lui, doit travailler cette position, afin de s'y habituer et de fortifier ses muscles.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. Barblan, L'Art du ski, 147 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
traîneau-skieur n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1950 - «[...] le stand de la F.F.S. ; celui du Secours en Montagne, avec ses traîneaux-skieurs légers, le brancard Mariner suspendu à son câble d'acier, et quatre photos géantes rappelant les instants les plus dramatiques du fameux sauvetage de l'Olan.» La Montagne, n° 348, avr.-juin, IX - C.T.
village-skieur n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - «Le village-skieur record. - Le village de Sainte-Croix (Jura suisse) compte actuellement 30 skieurs sauteurs actifs.» La R. du ski, n° 4, avr., XI - C.T.
éclaireur skieur loc. nom. m. SKI - GLLF, 1964 ; GR[85], ø d ; absent TLF.
• éclaireur-skieur - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Le groupement d'Eclaireurs-Skieurs de la 27ème D.I. Alpine en 1930 [...] Si, en effet, dans le dressage des éclaireurs-skieurs, on s'attache, à juste titre, à développer en eux l'amour de la montagne, l'enthousiasme pour les exploits des grands alpinistes [...] on ne perd jamais de vue que leur entraînement en montagne a un but essentiellement militaire.» La Montagne, n° 230, janv.-févr., 18 - C.T.
1935 - «[...] chacune des treize sections d'éclaireurs-skieurs s'en alla dans la neige.» La R. du ski, n° 3, mars, 107 - C.T.
1951 - «Les éclaireurs-skieurs des divers bataillons d'Autriche viennent y puiser un enseignement de montagne approfondi.» La R. du ski, n° 352, mars-avr., 36 - C.T.
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