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saint-simoniaque n.m. Anthroponymesur [le comte de] Saint-SimonÉCON. PHILOS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1830 - «Depuis quelques années, tout se renouvelle : doctrines, littérature, politique, et, si vous écoutez les saint-simoniaques, ils vous diront : 'La religion aussi !' » Balzac, Théorie du déjeuner, in Balzac, Oeuvres diverses, 2, 43 (Conard) - P.W.
simoniaque adj. Anthroponymesur Simon Le Magicien [hérésiarque]RELIG. - ND3, 1488, Mir. hist. ; BW5, 1488 ; DG, PR[73], 15e ; FEW (11, 634a), 1636, Monet ; L, Patru.
• symoniaque
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1372 - «Car ce que saint Ambroise appelle et dit estre heresie symoniaque quant on le commet en tel cas, il entrepretent decret provencial et ainsi le nomment en disant que il doit tenir tant seulement en Ytalie et avoir vertu entre les Lombars.» D. Foulechat, trad. : J. de Salisbury, Policratique, livre 7, ch. 17, f° 202 - Fr. mod., 41, 293.
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