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shogoun n.m. d'apr. jap. HIST.  MILIT.  Japon"général en chef, titulaire d'une dignité héréditaire qui faisait de lui le détenteur effectif du pouvoir à la place de l'empereur" - GR[85], DME, 1872 ; Ls, GLLF, TLF, 1875, R. deux mondes.
• séogoun
  - TLF (seogoun), 1836, Journal asiatique.
*1859 - «Toute la cruauté et en même temps la puérilité des japonais apparaissent ici dans des monstres minutieusement composés avec les parties diverses de différents animaux. Les sujets du séogoun excellent à ce genre de travail baroque, qui produit des espèces de momies fantastiques dont l'apparence de réalité est tout à fait surprenante.» M. Du CampEn Hollande, let. à un ami, 67 (Poulet-Malassis et de Broise) - TGLF
shogoun n.m. d'apr. jap. HIST.  MILIT.  Japon"général en chef, titulaire d'une dignité héréditaire qui faisait de lui le détenteur effectif du pouvoir à la place de l'empereur" - GR[85], DME, 1872 ; Ls, GLLF, TLF, 1875, R. deux mondes.
• chiogoun
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1863 - «Celui-ci [le général Hieas] laissant le mikado en possession de ses vains titres, alla s'établir à Yédo, dont il fit la seconde capitale de l'Empire, et fonda cette dynastie de chefs militaires qui, sous le nom de chiogouns ou taïkouns, ont régné depuis au Japon. [...] Osakka possède un magnifique château, résidence des anciens chiogouns [...]» R. Lindau, in R. des deux mondes , t.45, 1er mai, 75 et t.47, 15 oct., 918 - M.C.
shogoun n.m. HIST.  MILIT. Japon"général en chef, titulaire d'une dignité héréditaire qui faisait de lui le détenteur effectif du pouvoir à la place de l'empereur" - GR[85], 1872 ; GLLF, TLF, 1875, R. deux mondes.
• djogoun
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.séogoun : TLF, 1836, Journ. asiat. ; DDL 34, 1859, Du Camp ; chiogoun : DDL 34, 1863, R. deux mondes
1830 - «M. de Humboldt avait déjà, avec sa sagacité ordinaire, observé que les peuples à demi civilisés trouvés en 1537 par le conquérant Quésada, sur le riche et haut plateau de Bogota, devaient avoir les rapports les plus intimes avec ceux du Japon [...] comme eux, ils étaient soumis à deux souverains à la fois, l'un pontife suprême et rappelant le Daïri du Japon ; et l'autre roi analogue au Djogoun, ou roi actuel du Japon.» M. de Paravey, in R. des deux mondes, 2e série, t. 1, 387 - M.C.