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sexualiser v.tr. PSYCHANAL. "sens freudien" - TLF, 1917, Mercure de France (même texte) ; Lex.[75], v. 1950 ; PR[77], mil. 20e ; R (néol.), GLLF, 1964.
1917 - «M. Spiess nous dit qu'il sexualise la psychologie, épigone, en cela, de Platon, de Schopenhauer, de Weininger, de Freud.» G. Palante, in Mercure de France, numéro 462, 16 sept., 323 - P.E.
sexualiser v.tr. PSYCHANAL. "sens freudien" - GR[85], TLF, 1917, Mercure de France [d'apr. DDL 21] ; Lex.[79], DMC, mil. 20e ; GLLF, 1964.
*1926 - «Freud conclut ainsi, à la fin de son mémoire [Au delà du principe de jouissance] : 'Au fond, conscience (Gewissen) et morale sont liées à la domination et à la désexualisation du complexe d'OEdipe. Mais par le masochisme moral, la morale est de nouveau sexualisée et le complexe d'OEdipe revécu [...]'» Ch. Odier, Contribution à l'étude du surmoi et du phénomène moral, Rapport, Genève, 1er août, in R. fr. de psychanal., 1ère année, numéro 1, 56-57 (1927) - M.C.
sexualiser (se -) v.pron. PSYCHANAL. SEXOL- ø t. lex. réf. ; absent TLF.biol. : TLF, cit. Lilar, 1963.
1942 - «[...] dès que deux substances élémentaires s'unissent, dès qu'elles se fondent l'une dans l'autre, elles se sexualisent. Dans l'ordre de l'imagination, être contraires pour deux substances, c'est être de sexes opposés.» Bachelard, L'Eau et les rêves, 130 (Corti) - P.E.
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