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sextine n.f. LITT. - FEW (11, 559b), 1548, Sibilet.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1549 - «SEXTINE.» Pontus de Tyard, Oeuvres poétiques, 33 (Slatkine) - P.E.
*1551 - «SEXTINE.» Pontus de Tyard, Oeuvres poétiques, 77 - P.E.
*1583 - «Ie ne sais comme i'auois oublié la Sextine, que ce grand Pontus de Tyard, seigneur de Bissy, a le premier d'italien habillé à la françoise ; qui est vne poesie pauure de rime & riche d'intention [...]» Tabourot des Accords, Les Bigarrures, in Tabourot des Accords, Oeuvres poétiques, 242 - P.E.
sextine n.f. LITT. - FEW (11, 559b), 1548, Sibilet ; TLF, 1549 [d'apr. DDL 12].
• sestine - TLF, 1548, Sebillet ; FEW, 1611, Cotgr.
*1626 - «Sestine à Monsieur Certon.» Cotignon de La Charnays, in H. Lafay, La Poésie fr. du premier XVIIe siècle, 511 (Nizet) - P.E.
sextine n.f. LITT. - FEW (11, 559b), 1548, Sibilet ; TLF, 1549 [d'apr. DDL 12].
Au 19e- TLF, 1840, F. de Grammont ; L, ND3, PR[73], 1872 ; FEW, 1875, Lar. *1872 - «C'est un de nos poëtes les plus savants et les plus délicats, M. le comte de Gramont, qui, d'après la Sextine italienne de Pétrarque, inventa, créa la Sextine française, en triomphant d'innombrables et de terribles difficultés. La première Sextine de M. de Gramont parut dans la célèbre Revue Parisienne /1840/ de Balzac, qui, se faisant critique pour une telle circonstance, se chargea lui-même d'expliquer aux lecteurs ce que c'est qu'une Sextine [...]» Banville, Petit traité de poésie fr., 229-30 (Charpentier) - P.E.
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