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peau de serpent loc. nom. f. péjor. "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Avec toutes les précautions, des mouvements, des glissements, l'insaisissable Lemaître énumère humblement, pour sa plus grande gloire, toutes les peaux de serpent ferryste, méliniste, déroulédiste, qu'il a semées avant que d'être un royaliste de Maurras.» Barrès, Mes Cahiers, t.6, 303 - TGLF
serpent n.m. INSTR. MUS. - L, Chateaubr. ; DG, PR[73], ø d.
Compl.FEW (11, 520a) (1636) et TLF (mêmes réf., ø texte)
1636 - «Cet instrument se nomme serpent à raison de sa figure qui a des replis comme l'animal qui porte ce nom.» Mersenne, Harmonie universelle, 278 (Paris) - Wright-M.R.
serpent n.m. AÉROST. - TLF, cit. Marchis, 1904 ; FEW (11, 520a), GLLF, 1933, Lar.
*1908 - «Cordage fixé en-dessous de la nacelle d'un ballon, et qui sert d'amortisseur pour les descentes un peu brusques.» Lar. mensuel, févr., I, 194c - M.C.E.
serpent (trouver un - caché sous les fleurs) loc. verb. RELAT. "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF le serpent est caché sous les fleurs : FEW (11, 520a), 1685 ; TLF, cit. Proudhon, 1840.
[1826] - «Mais, hélas ! tout n'est point roses dans les plaisirs, car le matin du troisième jour je m'aperçus avec horreur que j'avais trouvé un serpent caché sous les fleurs. En six semaines de privations et de soins, je me vis parfaitement rétabli.» Mém. de Jacques Casanova de Seingalt, t. 1, ch. 7, 243 (Bruxelles, Libr. Rozet, 1826-38) - R.R.
serpent diamant n.m. ERPÉTOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1854 - «Les serpents comptent de nombreuses espèces en Australie, et à l'exception de celui qui est connu des colons sous le nom de diamond-snake, tous les autres sont plus ou moins venimeux. Ce serpent diamant surpasse tous les autres en longueur ; il atteint jusqu'à la longeur de quinze pieds, mais les individus de cette espèce sont rares.» Abbé Falcimagne, trad. : Mgr R. Salvado, Mém. historiques sur l'Australie, 381 (A. Pringuet) - M.C.
serpent à chapeau loc. nom. m. ERPÉTOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1746 - «[...] une pierre de la grosseur d'une noix, dont la vertu est admirable contre toutes sortes de poisons. Elle est tirée de la tête d'un animal fort rare, que les Indiens nomment (a) Bulgoldoph. [...] (a) Faria l'appelle Bulgodolf. C'est un serpent à chapeau. La pierre se nomme en François, Pierre de Serpent ; en Portugais, Cobra de Capelos.» A.-F. Prévost, trad., Hist. gén. des voy., I, 215 (Didot) - P.E.
vert-serpent n.m. COULEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1902 - «Les combinaisons jugées les plus heureuses sont celles qui réunissent [...] le vert-serpent et le bleu foncé.» La Mode illustrée, 273 - A.Ré.
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