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flot n.m. arg. ARG. THÉÂTRE THÉÂTRE "figurant" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1889 - «Ce n'est qu'à Paris que vous rencontrerez [...] les flots, figurants qui, moyennant soixante centimes par soirée, s'agitent sous une toile représentant les vagues, et donnent une vague... idée d'une mer en furie.» H. Buguet et E. Benjamin, L'Univers dans Paris, 35-6 (Marpon et Flammarion) - J.S.
flot (remettre à -) loc. verb. MAR. - FEW (15/II, 147b ; mettre à -), GLLF (mettre à -), PR[77], 1690, Fur. ; TLF, cit. Crèvecoeur, 1801 ; L, DG, ø d ; R, cit. Gide ; Lex.[75], ø d fig. : FEW, GLLF, DELF, 1845, Besch. (mettre à -) ; TLF, cit. Lamartine, 1830 ; L, DG, R, Lex.[75], PR[77], ø d
av. 1636 - «Il est dans le mépris, et tout le monde dit / Les defauts qu'il avoit quand il perd son credit. [...] Quand la rigueur du temps l'a rendu miserable, / Sans secours et sans fond, il attend sur le sable / De se remettre à flot à l'heure du reflus, / Mais la mer de la Cour passe et ne revient plus.» P. Hay du Chastelet, in Fleuret et Perceau, Les Satires fr. du XVIIe siècle, I, 232 (Garnier) - P.E.
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