| ![]() ![]() ![]() ![]()
scherzo n.m. d'apr. ital. MUS. - TLF, 1821, Castil-Blaze [d'apr. DDL 20] ; BW5, FEW (17, 634b), 1842, Compl. Acad. ; PR[73], v. 1846 ; L, Berlioz.
*1834 - «SCHERZO, badinage. Ce nom se donne maintenant aux morceaux à trois temps des symphonies, quatuors, etc., qu'on appelait autrefois menuets. Le nom de scherzo leur a été appliqué depuis que leur mouvement s'est considérablement accéléré.» F.J. Fétis, La Musique mise à la portée de tout le monde, 381 (Paulin) - P.E.
*1835 - «Nous sommes quelques centaines d'extravagants, qui avons déifié Beethoven, à Paris ; [...] nous pleurons, nous rions, nous poussons des cris de sauvages, nous nous arrachons les cheveux à ses adagios si mélancoliques, à ses scherzos pleins de piquantes bouffonneries [...]» Berlioz, Beethoven, 77 (Corrêa) - P.E.
scherzo n.m. d'apr. ital. MUS. - DDL 12, 1834, Fétis ; FEW (17, 634b), GLLF, BW6, 1842, Compl. Acad. ; R, 1846, Besch. ; PR[77], v. 1846 ; L, cit. Berlioz ; Lex.[75], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1821 - «SCHERZO, badinage. On donne ce nom à un morceau de musique de peu d'étendue, et d'un style léger et badin. Le scherzo est assez souvent un menuet d'un caractère plus bizarre que celui des menuets ordinaires.» Castil-Blaze, Dict. de musique mod., II, 247 (Au Magasin de mus. de la Lyre mod.) - P.E.
*1832 - «On voit déjà que la symphonie fantastique de Berlioz est loin d'être un cadre coupé d'avance, avec ses quatre côtés : un pour l'allégro, un second pour l'andante, un troisième pour le scherzo, le dernier pour l'allégro final.» J. d'Ortigue, in R. de Paris, t. 45, 291 - P.E.
|