Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
combiné fond-saut loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «combiné fond-saut [...]» La R. du ski, n° 2, févr., XXIV - C.T.
cubistique (saut -) loc. nom. m. CIRQUE  "t. voltige" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1599 - «[...] et encore des pages sur les sauts Epheristique, Orchestique, Cubistique [...]» A. Tuccaro, Trois dialogues de l'exercice de sauter et de voltiger, ap. GoncourtLes Frères Zemganno, 240.
demi-longueur n.f. TURF - Rs, TLF, Lex.[75], 1873, Lar. ; PR[77], 1933 ; GLLF, déb. 20e.
1829 - «Dans la première course entre Vittoria et Link-Boy (le 28 septembre), Vittoria gagna, non d'une longueur de nez, mais bien d'une demi-longueur de cheval, ou de deux cinquièmes de seconde. [...] Turk fut distancé, et Bizaro perdit d'une demi-longueur Journ. des haras , 1er mars, 308 et 1er août, 299 - M.H.
demi-saut n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «LE DEMI-VIRAGE SAUTE Ceci est une manoeuvre utile en neige rugueuse. La meilleure méthode de descente sur neige recouverte d'aspérités durcies consiste à opérer une traversée aussi inclinée que les circonstances le permettent, puis à bloquer la vitesse au moyen d'un demi-saut. Au lieu d'essayer de lifter les skis hors de la neige, sauter juste assez pour lifter les talons des skis.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 143 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
demi-saut tournant loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Demi-saut tournant. - Il s'exécute comme le saut tournant ordinaire, mais son amplitude n'est que de 90 degrés, de la ligne de pente à l'horizontale. En reprenant contact, se pencher vers la pente. Tout de suite après le départ, ou à vitesse modérée, le demi-saut tournant est facile, mais à grande vitesse il est plus difficile que le saut tournant. Pratiquement, l'application principale du demi-saut tournant est de terminer avec légèreté et avec élégance un parcours dont la vitesse va en diminuant.» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 92 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
longueur n.f. ALP.  "distance" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1940 - «Longueur. - Longueur totale de la corde.» SamivelL'Amateur d'abîmes, Petit dict., 235 (Stock, Coll. Les Livres de nature) - C.T.
longueur d'onde loc. nom. f. PHYS. - FEW (5, 410b), 1868 ; GLLF, 1903, Lar. ; TLF, ø d.
• longueur des ondes sonores
  - L et GR[85] (- des ondes lumineuses), cit. Fresnel.
1821 - «La longueur des ondes sonores est sensiblement égale à l'espace que le son peut parcourir pendant le temps T que durent les excursions du corps vibrant par lequel le son est produit [...]» J.-B. BiotPrécis élémentaire de phys. expér., 364 (2e éd., Deterville) - P.P.
longueur d'onde loc. nom. f. PHYS. - FEW (5, 410b), 1868 ; GLLF, 1903, Lar. ; TLF, ø d.
1858 - «La distance des deux sphères enveloppes d'une onde lumineuse se nomme longueur d'onde C. Forthomme, trad. : A. BeerIntrod. à la haute opt., 14 (Paris, Mellier ; Nancy, Grimblot-Raybois) - P.P.
1863 - «J'ai l'honneur de communiquer à l'Académie les résultats d'une série d'expériences sur la relation qui existe entre la rotation magnétique du plan de polarisation d'un rayon de lumière homogène et sa longueur d'onde E. Verdet, in C.r. de l'Acad. des Sciences, t.56, 6 avr., 630 - P.P.
longueur d'ondulation loc. nom. f. OPT. "longueur d'onde" - TLF, ø d.
1830 - «C'est pourquoi l'on doit considérer les formules générales qui donnent l'intensité de chaque espèce de lumière homogène en fonction de sa longueur d'ondulation, comme l'expression même de la teinte produite par la lumière blanche.» M. PouilletElémens de phys. expér. et de météorol., t.2, 2e part., 575 (Béchet) - P.P.
1874 - «ONDULATION s.f. [...] Physiq. [...] On nomme longueur d'ondulation le chemin que parcourt l'onde pendant la durée d'une vibration.» Lar. GDU - TGLPF
longueur de corde loc. nom. f. ALP.  "distance" - RSp., 1943, Pourchier-Frendo ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1902 - «Ce passage franchi, le sommet se montre tout près, là, à une longueur de corde, mais quel sommet.» Echo des Alpes, numéro 4, 126 - C.T.
longueur de corde loc. nom. f. ALP.  "parcours" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1931 - «Une nouvelle longueur de corde et VINCENT se trouve sur un contrefort [...] en lame de couteau [...]» La Montagne, numéro 234, sept.-oct., 292 - C.T.
1947 - «Mais Maurice, dans sa fougue ne cherchant ni à droite ni à gauche, monte toujours plus droit, toujours plus haut le long de ce mur baigné par le vide. Dalles, duelfers, fissures : chaque longueur de corde est magnifique et variée.» La Montagne, numéro 335, janv.-mars, 12 - C.T.
orchestique (saut -) loc. nom. m. CIRQUE  "t. voltige" - ø t. lex. réf. ; absent TLForchestique : TLF, 1599, Tuccaro ; DG, 1732, Trév. [sic] ; DG, FEW (7, 393a), 1762, Acad. ; L, ø d.
1599 - «[...] et encore des pages sur les sauts Epheristique, Orchestique, Cubistique [...]» A. Tuccaro, Trois dialogues de l'exercice de sauter et de voltiger, ap. GoncourtLes Frères Zemganno, 240.
piste de saut loc. nom. f. SKI - RSp., ø d ; in Ga [1969] ; absent TLF.
1917 - «Sur toute la longueur de la piste de saut, la neige doit être tassée, cohérente, unie, homogène, de telle sorte que les skis y mordent sans s'y enfoncer. Pour cela on prépare la piste, en battant la neige avec les skis placés en travers de la pente.» H. Faes et P.-L. MercantonLe Man. du skieur, 54 (Lausanne, Impr. réunies) - M.J.
saut n.m. GÉOGR.  "- d'un cours d'eau" - FEW (11, 124a), R, Lex.[75], 1608 ; Gc, Lescarbot [1609] ; GLLF, déb. 17e ; L, cit. Raynal ; DG, PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1605 - «Outre ce sault premier, les Canadois disent, qu'il y en a dix autres [...] ausquels on ne sçauroit aller qu'auec les Canots des Sauuages.» P. CayetChronologie septenaire, 421 verso (Richer) - P.E.
*1606 - «Cataracte, est vne ouuerture entre des montagnes, par où quelque cours d'eau se iette de haut en bas, et fait merueilleusement grand bruit [...] Vn saut de riuiere.» NicotThresor, 103a (Picard) - P.E.
saut n.m. SKI - RSp., 1906 ; GLLF, GR[85], ø d ; in Ga [1969] ; absent TLF.
1905 - «L'art du saut en profondeur et en longueur est cultivé en Norvège avec un succès remarquable, et a été porté à une grande perfection.» F. Achard, trad. : PaulckeMan. de ski, 11 (Berger-Levrault) - M.J.
saut (au - du lit) loc. adv. ÉVÉN. - GLLF, GR[85], TLF, 1588, Montaigne ; L, FEW (11, 123a), DEL, Mont.
16e - «Lucas [...] Quel remède ? Il est necessaire / Que je le prenne au sault du lict. / G'y voys.» Lucas, sergent boiteux et borgne, in A. TissierLa Farce en France de 1450 à 1550, II, t. 1, 177 (SEDES) - P.E.
saut (faire le - de chèvre) loc. verb. MOUV. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1595 - «[...] nostre petit diable [...] nous toucha d'une verge qu'il tenoit, par trois fois, et soudain fit le saut de chèvre commandant d'aller.» Nouv. des régions de la lune, in Satyre Ménippée, 320 (Charpentier) - P.E.
saut (faire le -) loc. verb. non conv. SANTÉ "fig. : mourir" - Hu, Bouchet [1584] ; TLF, cit. Maupassant, 1882 ; FEW (11, 123b), 1896 ; DEL, cit. Zola. faire le saut naturel : TLF, 1585, Cholières.
*1586 - «[...] ilz s'embarquent encor plus aysément en la croyance de ces advertissements magiques, et sont tousjours à l'aguet que le Roy puisse fayre le sault, afin de pouvoyr mieux conduire toutes leurs entreprises à chef, sans l'opposition de la personne du Roy.» R. de LucingeLet. sur la cour d'Henri III en 1586, 31 (Droz) - P.E.
saut (faire le/un - de mouton) loc. verb. MOUV. - TLF, cit. Morand, 1932.
1668 - «La Grenoüille vit vn Serpent / Long de six pieds & d'vn empant / Qui s'en venoit la gueule ouuerte / La gober comme vne huistre verte. / Aussi-tost baissant le menton / Elle fit vn saut de mouton, / Moyennant quoy la malle beste / Ietta le Rat le cu sur teste [...]» Guerre comique, 10 (Barbin) - P.E.
1761 - «[...] mon pere qui allongeait le cou pour mieux nous écouter, le reçut à califourchon sur les épaules : D*** picquait des deux sans trop savoir où il était ; mais mon pere qui ne se souciait pas autrement d'être cheval de poste, fit le saut de mouton et démonta son cavalier.» [Desboulmiers]Honny soit qui mal y pense, 50 (A Londres) - P.E.
1812 - «BOISSEC. C'est ma petite jument doucette qui a fait un saut de mouton ; cette jolie petite bête est d'une vivacité ! elle m'a jeté à cinquante pas dans le fourré.» Merle et BrazierLe Ci-devant jeune homme, 31 (Masson) - P.E.
saut (faire un - à ...) loc. verb. non conv. DÉPLAC. "aller quelque part sans y rester" - TLF, 1803, Chateaubriand (même texte) ; GLLF, GR[85] (cit.), 1936, Montherlant ; Lex.[79], ø d.
1803 - «Au bout de cette année, si je ne suis placé d'une manière indépendante, je fais un saut à Athènes, puis je reviens au mois d'octobre (1804) m'ensevelir dans une chaumière aux environs de Paris [...]» ChateaubriandCorresp. gén., let. de Rome, I, 239 (Gallimard) - P.E.
saut assis loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Il faut distinguer ici deux 'manières' de sauts : le saut debout ou en position allongée et le saut assis ou en position accroupie.» L. Arnaud, trad. : Hoek et RichardsonLe Ski, 120 (Grenoble) - C.T.
saut combiné loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - La R. du ski, n° 2, févr., XXIV - C.T.
saut d'arrêt loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1933 - «Le Saut d'arrêt. Il ne diffère du saut tournant décrit auparavant que par l'angle du tournant et par la façon d'atterrir.» K. WickMan. du ski de descente, 54 (Fasquelle) - M.J.
saut de basque loc. nom. m. CHORÉGR. - L, ø d ; TLF, Lar. encycl.
1690 - «Le saut de Basque est un couppé sauté en tournant.» FuretièreDict. univ. - E.R.
1700 - «[...] demi cabriole en tournant un tour en saut de basque R.-A. FeuilletChorégraphie ou l'Art de décrire la dance, 85 (Brunet) - E.R.
saut de l'Allemand (faire le -) loc. verb. US. ALIM. - FEW (11, 123b), 1640, Oudin ; absent TLF.
1623 - «faire le saut de l'Allemand, du lit à la table, et de la table au lit.» F. GarasseLa Doctrine curieuse des beaux esprits, 726 (Chappilet) - P.E.
1624 - «Je m'habillay, faisant le saut de l'Allemand, du lict à la table, car j'avois reservé la veille quasi demy-septier de vin.» Le Pont-breton des procureurs, in VHL, VI, 277 (Jannet) - P.E.
saut de skis loc. nom. m. SKI saut : RSp., 1906 ; GLLF, GR[85], ø d ; in Ga [1969] ; absent TLF.
1905 - «[à Chamonix] Une piste pour saut de skis sera également dressée, des concours organisés.» R. alpine, 391 - M.J.
saut debout loc. nom. m. SKI - RSp., 1969, Gautrat ; absent TLF.
1908 - «Il faut distinguer ici deux 'manières' de sauts : le saut debout ou en position allongée et le saut assis ou en position accroupie.» L. Arnaud, trad. : Hoek et RichardsonLe Ski, 120 (Grenoble) - C.T.
saut fléchi loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Elles [ces pentes] sont en plus coupées d'obstacles, chemins ou routes en déblai, que j'ai vu parfois franchir d'un bond par la méthode appelée 'optraeke-methoden' qui n'est autre que notre saut fléchi Ski-Sports d'hiver, n° 37, févr., 152 - C.T.
saut freiné loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «LE SAUT FREINÉ La R. du ski, n° 1, janv., 18, titre - C.T.
saut glissé loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «Une étude plus poussée des lois de l'aéro-dynamique, poursuivie par l'ingénieur suisse R. Straumann, permit enfin de réussir des sauts 'glissés' de 70 mètres et plus.» Ski-Sports d'hiver, n° 31, avr., 375 - C.T.
saut penché loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «Le saut penché. Le saut penché est issu du saut non accompagné d'un effort et résultant du simple passage sur le tremplin.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski, 327 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
saut plané loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «LE SAUT PLANÉ La R. du ski, n° 1, janv., 18, titre - C.T.
saut périlleux loc. nom. m. GYMN. - FEW (11, 123a), 1502 ; GLLF, déb. 16e ; L, Mme de Sév. ; TLF, cit. Duranty, 1860 ; DG, R, Lex.[75], PR[77], ø d.
• souprieux
 rég. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1895 - «Gardez ! Gardez de là ! criait un blondin à la peau bistrée, aux cils blancs : le souprieux...! Et, gauchement, il exécutait une cabriole qui le plaçait sur le dos.» Musette [A. Robinet]Cagayous, pochades algériennes, 10 (Impr. Mallebay) - P.E.
saut taxar loc. nom. m. SKI - In Ga (saut en taxar) [1969] ; absent TLF.
1935 - «En bas, à droite, un beau saut taxar d'ANDRÉ HERMANN, moniteur diplômé F. F. S., directeur de l'Ecole de Ski André Hermann.» La R. du ski, n° 1, janv., 19 - C.T.
1936 - «Dans le saut appelé 'taxar', la canne n'est pas soulevée et les jambes bien étendues sont lancées en avant. Les skis sont alors tournés dans un plan vertical comme les ailes d'un moulin, au devant des cannes.» F. HallbergSki actuel, 91 (Grenoble, Arthaud) - C.T.
saut tombé loc. nom. m. SKI - RSp., 1969, Gautrat ; absent TLF.
1928 - «Un saut réussi sur un grand tremplin est la juste récompense des innombrables sauts 'tombés' que l'on a faits sur de petits tremplins.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski, 323 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
saut tournant loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1928 - «[...] il est plus fatigant et plus difficile de manier de longs skis, lorsqu'on monte, que l'on freine, que l'on vire, que l'on fait des arrêts ou des sauts-tournants. [...] C'est la position de sortie pour les sauts (sauts-tournants, sur le terrain et au tremplin), et on la prend, sur le terrain, alternativement avec la position ramassée. Sur la neige croûtée, elle est très utile, sa base large et la répartition égale du poids permettant une plus grande stabilité que dans la position ramassée avec un ski avancé. [...] Saut-tournant pour prendre la descente directe lorsqu'on est placé en travers d'une pente (avec ou sans bâtons). [...] Demi-tour sauté. Le demi-tour (180 degrés), accompli au moyen d'un saut-tournant, n'est pas sans utilité ; cependant l'occasion ne s'en présente pas souvent.» A. Mooser et M. Bourgeois, trad. : A. Zarn et P. BarblanL'Art du ski , 13, 128, 135 et 244 (Zurich, éd. Bopp) - C.T.
1930 - «Demi-saut tournant. - Il s'exécute comme le saut tournant ordinaire, mais son amplitude n'est que de 90 degrés, de la ligne de pente à l'horizontale. En reprenant contact, se pencher vers la pente. Tout de suite après le départ, ou à vitesse modérée, le demi-saut tournant est facile, mais à grande vitesse il est plus difficile que le saut tournant. Pratiquement, l'application principale du demi-saut tournant est de terminer avec légèreté et avec élégance un parcours dont la vitesse va en diminuant. [...] Demi-tour sauté sur une contre-pente. - Choisir une sortie en contre-pente. Avant l'arrêt, faire un saut tournant de 180 degrés et redescendre la pente. La difficulté du demi-tour sauté est qu'on doit planter le bâton juste au bon moment, alors qu'on ne va plus trop vite et pas encore trop lentement. D'autre part, il faut un bon sens de l'équilibre pour rester perpendiculaire à la pente avant comme après le saut. [...] Saut vissé [...] Le saut vissé est un saut tournant de 270 degrés pendant un saut de corniche. Le pli de terrain (bord de la corniche) qui sert au départ, doit être horizontal, si possible, ou même relevé.» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 92, 93 et 113 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1931 - «[lors du tournage d'un film] ne pas oublier la poussière de neige derrière les skis, ni la silhouette du Matterhorn entre les jambes pour un saut tournant Ski-Sports d'hiver, n° 1, 6 - M.J.
1933 - «Le Saut d'arrêt. Il ne diffère du saut tournant décrit auparavant que par l'angle du tournant et par la façon d'atterrir.» K. WickMan. du ski de descente, 54 (Fasquelle) - M.J.
saut triplé loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Vit-on jamais plus enthousiasmant spectacle que les sauts extraordinaires des militaires et amateurs norvégiens ? [...] Ce fut du délire, lorsque ces derniers, Tangen, Gjeswold et Solberg exécutèrent un saut triplé, la main dans la main.» La Montagne, n° 2, févr., 80 - C.T.
saut vissé loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «Saut vissé [...] Le saut vissé est un saut tournant de 270 degrés pendant un saut de corniche. Le pli de terrain (bord de la corniche) qui sert au départ, doit être horizontal, si possible, ou même relevé.» J. Selz, trad. : M. WinklerLa Nouv. technique du ski, 113 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
saut-de-lit n.m. CHAUSS. - TLF, cit. La Chaussure, 1922 (même texte) ; FEW (11, 123a ; fasc. paru en 1962 ; pl.), connu d'après Renson saut-du-lit : FEW, dans l'usage vers 1948 d'après Bonnerot
1922 - «Sandalettes / Articles sans Premières / Kneip [sic] [...] Saut de lit / Charentaises / Etc.» La Chaussure, 31 août, 12, Publicité (sans ponctuation) (Liège) - M.C.E.
ski de saut loc. nom. m. SKI "patin" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «Skis de saut et skis de fond. - Les uns et les autres de ces skis doivent, cela va sans dire, être de bons appareils, réunissant les conditions générales indiquées ; mais ce n'est pas tout. Pour le saut, il faut choisir un bois plus résistant, plus lourd, plus uni, plus serré, et n'adopter en aucun cas le ski doublé, c'est-à-dire en deux bois.» L. Arnaud, trad. : Hoek et RichardsonLe Ski, 36 (Grenoble) - C.T.
1930 - «Je crains que le skieur de l'avenir n'ait à se rendre à un concours important avec quatre paires de skis de types différents, skis de saut, skis de fond, skis à carres d'acier pour les slaloms, skis larges et lourds pour les courses de descente.» A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin, 161 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1934 - «Il existe [...] de nombreux types de ski - environ 250 - qui varient avec les pays et les usagers : skis de saut, de course, de montagne, de 'piste', etc., en dehors des skis ordinaires pour tous terrains.» Bull. de la section vosgienne du Club alpin, n° 7, 106 - M.J.
ski de saut loc. nom. m. SKI "sport" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1930 - «On peut adopter cette classification du ski : ski de descente, ski de plat (comprenant le ski à la montée) et ski de saut A. de Gennes, trad. : A. LunnLe Ski alpin , Préf., V et 1 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
ski-saut n.m. SKI "patin" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1896 - «Skis pour le saut que j'appellerai skis-saut Le Moniteur dauphinois, 7 mars, 1 - M.J.
tirer (une longueur) v.tr. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1963 - «[...] je suis au bout des 45 m de corde me reliant à Pierre et il me faut relayer. Tirer de telles longueurs de corde est un maximum en raison du poids, puis des manipulations que cela entraîne, soit avant, soit au relais lui-même.» La Montagne et alpinisme, numéro 41, févr., 7 - C.T.
1969 - «D'abord, je tiens à préciser que je ne grimpe pas toujours en tête ; à mon avis, la cordée idéale est une cordée réversible où chacun tire sa longueur, dans ce cas nous poussons souvent le scrupule jusqu'à jouer à pile ou face la longueur de départ.» La Montagne et alpinisme, numéro 72, avr., 42 - C.T.
éphéristique (saut -) loc. nom. m. CIRQUE  "t. voltige" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1599 - «[...] et encore des pages sur les sauts Epheristique, Orchestique, Cubistique [...]» A. Tuccaro, Trois dialogues de l'exercice de sauter et de voltiger, ap. GoncourtLes Frères Zemganno, 240.