|
bâton à sabre loc. nom. m. MILIT. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Dans les exercices militaires de ski, les officiers et la troupe sont particulièrement embarassés par l'épée ou le sabre, ainsi que la carabine [...] L'auteur a fait établir pour ces motifs un bâton à sabre, auquel on peut attacher le sabre, ou l'épée.» F. Achard, trad. : Paulcke, Man. de ski, 64 (Berger-Levrault) - M.J.
traîne-sabre n.m. MILIT. - GR[85] cit. Queneau, 1933 ; absent TLF.traîneur de sabre : TLF, 1805, Courier ; DHR, déb. 19e ; FEW (17, 1a), 1875, Lar.
1894 - «A l'invitation du traîne-sabre, les gas entonnèrent la Carmagnole ; le pas se releva, le galonnard semblait boire du lait [...] mais aussitôt arrivés [à la caserne], on en foutit une douzaine au bloc [...].» Almanach du Père Peinard, 40 (Papyrus éd.) - P.R.
épée (un beau coup d'-) loc. nom. m. ACTION "sottise, bévue" - FEW (12, 141a), 1718, Acad. ; TLF, ø d.
1683 - «Mandez-moi, mon cher Monsieur, [...], et comme vous vous trouvez de ce beau coup d'épée que vous avez fait [...]» Mme de Sévigné, Let., à M., Mme de Guitaut , 20 avr., II, 934 (Ed. Gérard-Gailly) - Nies.
|