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bâton à sabre loc. nom. m. MILIT.  SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1905 - «Dans les exercices militaires de ski, les officiers et la troupe sont particulièrement embarassés par l'épée ou le sabre, ainsi que la carabine [...] L'auteur a fait établir pour ces motifs un bâton à sabre, auquel on peut attacher le sabre, ou l'épée.» F. Achard, trad. : PaulckeMan. de ski, 64 (Berger-Levrault) - M.J.
chevalier du poignard loc. nom. m. HIST. - L, ø d ; absent TLF.
1791 - «[...] la porte par laquelle ont passé le 28 février dernier les chevaliers du poignard Vedette, 9 avr., 6 - P.E.
1792 - «On y joignit tous ces traîtres universellement connus sous le nom de chevaliers du poignard Journ. des hommes libres ou le Républicain, 10 août, 3 - Frey, 184.
1792 - «Les appartements (du château) étaient remplis de chevaliers du poignard La Chronique de Paris, numéro 237 - Frey, 184.
1792 - «[...] la lâcheté de l'ex-monarque et des chevaliers du poignard [...]» MaratL'Ami du peuple, 21 nov., 3-4 - Frey, 184.
1842 - «Chevaliers du poignard (hist.), Nom que le parti populaire donna à des royalistes qui se réunirent aux Tuileries, avec des armes cachées, le 28 février 1791.» Complément Acad.aussi dans La Châtre, 1854.
poignard (tourner à qqn le - dans le coeur) loc. verb. RELAT. "fig." - GLLF, 1736, Volt. ; FEW (8, 512b), L, Volt. ; absent TLF.
1671 - «[...] si quelqu'un m'eût tourné un poignard dans le coeur, il ne m'auroit pas plus mortellement blessée que je l'étois de cette pensée.» Mme de SévignéLet., à Mme de Grignan , 15 avr., I, 258 (Ed. Gérard-Gailly) - Nies.
poignard à glace loc. nom. m. ALP. - absent TLF ; [RSp. : s.v. point d'appui, in cit., 1970, La Montagne].
1969 - «[...] la tenue du piolet est pour nous similaire à la tenue du piolet dans la technique française [...] A noter que cela proscrit l'usage du poignard à glace [...]» La Montagne et alpinisme, numéro 73, juin, 107 - C.T.
1970 - «Ce qui nécessite évidemment de progresser avec dans une main un piolet-marteau sur lequel on s'appuie, et dans l'autre un poignard à glace muni d'une tête de frappe métallique et ayant, à la base du manche, un anneau sur lequel on peut se mousquetonner après avoir planté le poignard qui, de ce fait, devient broche.» La Montagne et alpinisme, numéro 78, juin, 303 - C.T.
traîne-sabre n.m. MILIT. - GR[85] cit. Queneau, 1933 ; absent TLF.traîneur de sabre : TLF, 1805, Courier ; DHR, déb. 19e ; FEW (17, 1a), 1875, Lar.
1894 - «A l'invitation du traîne-sabre, les gas entonnèrent la Carmagnole ; le pas se releva, le galonnard semblait boire du lait [...] mais aussitôt arrivés [à la caserne], on en foutit une douzaine au bloc [...].» Almanach du Père Peinard, 40 (Papyrus éd.) - P.R.