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anarchisto-royaliste n.m. HIST. FR. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1883 - «[...] nous avons rudement travaillé, vendredi, nous autres anarchisto-royalistes. [...] J'en ai attrapé une bronchite, à force de hurler : 'A mort, les sergos !'» Le Triboulet, 18 mars, 1b - G.S.
anti-royaliste n.m. HIST. FR. - FEW (10, 203a ; ø indic. gramm.), 1766 ; absent TLF.
*1796 - L'Anti-royaliste, journal de la rue de Chartres, Quotidien, 7 févr., n° 1 (Paris), in Martin et Walter, Catalogue de l'hist. de la révolution fr., V, 121 (Paris) - LTP
anti-royaliste adj. POLIT. - FEW (10, 203a ; ø indic. gramm.), 1766 ; absent TLF.n.m. : DDL 11, 1796
1765 - «[...] les Parlements de France [...] sont encore plus Anti Royalistes [sic] que le Parlement d'Angleterre [...]» Anon., L'Esprit des magistrats philosophes, ou Lettres ultramontaines, 84 (Tivoli) - J.S.
mi-royaliste adj. HIST. RÉVOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1792 - «[...] un citoyen dénonce ce qu'il appelle trois bandes ou factions dans la Convention nationale, savoir : la bande révisionnaire, qui veut être léopard, ou dominer ; la législature, ou mi-royaliste, qui veut être l'ours, et qui intrigue ; et la bande dindonnière, qui est l'agneau et qu'on immole.» Séance du 21 oct., in Aulard, La Société des Jacobins, IV, 412-3 (Jouaust) - LTP
néo-royaliste n.m. HIST. CONTEMP. POLIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1922 - «Quelques néo-royalistes médisent du romantisme ; il est cependant le fils de la Restauration et un redressement de notre énergie épique.» M.A. Leblond, in Les Marges, n° 95, 15 mai, 27 - P.E.
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