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relavure n.f. péjor. VALEUR "fig." - FEW (5, 218a), 1935, Acad. ; absent TLF.
1895 - «Les littératures [...] ne parviennent au peuple qu'à l'état de relavures [...]» R. de Gourmont, Epilogues 1895-1898, 15-16 - P.W.
relavure n.f. péjor. VALEUR "fig." - TLF, cit. Gide, 1896 ; FEW (5, 218a), 1935, Acad.
Add.DDL 25 (1895, R. de Gourmont)
*1897 - «Le vieux balancier, qui venait d'entr'ouvrir la crapaudière de son âme en passant devant un lieu saint, représentait, non sans orgueil, tous les virtuoses braillards et vilipendeurs du groupe social où se déversent perpétuellement, comme dans un puisard mitoyen, les relavures intellectuelles du bourgeois et les suffocantes immondices de l'ouvrier.» L. Bloy, La Femme pauvre, 9 (Mercure de France, 1932) - TGLF
*1900 - «La médiocrité de l'auteur est si infaillible que je ne rencontre pas même les sottises remarquables que j'avais espérées. Si c'était seulement de l'eau de vaisselle dont on pût nourrir des porcs ! Mais c'est de l'eau de toilette, de la relavure de bidet !» L. Bloy, Journ., t.1, 62 (Mercure de France, 1956-63) - TGLF
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