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railway-mania n.f. d'apr. angl. HIST. MOEURS - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1864 - «Les Anglais sont sujets de temps en temps à ces accès d'engouement où le jeu se mêle aux affaires sérieuses, et qu'eux-mêmes ils appellent des manies. Depuis la railway-mania de 1846, les Anglais s'étaient fait remarquer en affaires par une sagesse exemplaire. Ils n'avaient pris aucune part à cette fièvre qui s'empara de la France en 1852, et qui nous fit entreprendre des chemins de fer dans tous les pays de l'Europe, depuis l'Espagne jusqu'à la Russie.» E. Forcade, in R. des deux mondes, t.51, 15 mai, 496 - M.C.
scenic railway n.m. d'apr. angl. LOISIRS - PR[73], Rs, 20e ; absent TLF.
1904 - Bonnaffé, The French Quarterly, sept. (1922) - Mackenzie, 257.
1947 - «Le scenic-railway, qui est une des industries-clés de ce globe, subit actuellement une crise sans précédent.» Daninos, Les Carnets du bon Dieu, 182 - R.R.
1951 - «Mais vous admettrez peut-être, au bout de ce curieux voyage, en sortant de cette espèce de scenic railway étourdissant, que le proverble [sic] latin était prophétique : Sus Minervam docet, le cochon en remontre à Minerve !» F. Bonac-Melvrau, Défense de Will, VI, 58 - R.R.
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