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auto-cuisine n.f. ÉCON. DOM. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1916 - «[...] l'auto-cuisine système Harmand [...]» Ch. Merki, c.r. : L'Exposition des petits fabricants, in Mercure de France, 117, 561 - M.C.
batterie de cuisine loc. nom. f. non conv. ARG. MILIT.  TITRE "médailles nombreuses sur la poitrine [d'un militaire]" - DArg., 1912, Villatte ; GLLF, GR[85], DEL, ø d ; absent TLF.
1901 - «DÉCORATIONS. Batterie de cuisine A. BruantL'Argot au XXe siècle, 145 - Ch.Be.
av. 1907 - «"Si on l'appelait le Quincaillier, c'était à cause de la ferblanterie qui dansait au côté gauche de sa tunique. Une vraie batterie de cuisine, ramassée un peu partout, dans toutes les cuisines où on avait cassé des oeufs pour faire des omelettes."» La Vie militaire, in H. FranceDict. de la langue verte, 125 (Nigel Gauvin) - P.R.
1907 - «FERBLANTERIE. Nom que donnent aux décorations ceux qui n'en portent pas ou ceux qui en ont postulé vainement. Ils les appellent aussi batterie de cuisine.'» H. FranceDict. de la langue verte, 125 (Nigel Gauvin) - P.R.
bloc-cuisine n.m. ÉCON. DOM. - GLLF, mil. 20e ; Lex.[79], v.1950 ; DMC, cit. 1969 ; GR[85], ø d ; absent TLF.
Add.DDL
*1958 - «Pratique et moderne, voici le bloc-cuisine fonctionnel [...]» Science et vie, avr., 119a-b - M.H.
*1960 - «BLOC-CUISINE n.m. Eléments préfabriqués permettant l'installation rapide d'une cuisine.» Grand Lar. encycl. - TGLF
bloc-cuisine n.m. ÉCON. DOM. - Lex.[79], v.1950 ; DDL 28, 1958 ; GLLF, mil. 20e ; DMC, cit. L'Autojourn., 1969 ; GR[85], ø d ; absent TLF.
1952 - «Les blocs-cuisine COMERA sont en bois super-émaillé au DUCO [...] On peut encastrer dans un bloc-cuisine un réfrigérateur [...]» Annonce, in Arts ménagers , numéro 27, mars, 32 et 59 - P.E.
1955 - «De belle apparence, cette cuisinière à gaz trouvera sa place dans un bloc-cuisine Science et vie, numéro spécial : Les Arts ménagers, 7 - P.E.
cuisine n.f. arg.  ARG. POLICE  "interrogatoire" - E, 1950 ; absent TLF.
1897 - «La cuisine de la Sûreté est l'opération qui consiste à travailler les prévenus, à les cuisiner - le mot en dit plus lui même que toutes les définitions [...] La Cuisine de la Sûreté, c'est, si vous voulez, quelque chose de la torture par persuasion, la dent arrachée sans douleur !» Les Mémoires de M. Goron, 4e part., 82 - J.Hé.
cuisine (français de -) loc. nom. m. péjor. EXPRESS. "fig." - TLF, cit. Gyp, 1891.
1806 - «[...] vous penserez peut-être que ces sortes de sujets, loin d'amener des réflexions piquantes et des traits malins et spirituels, nous exposeront souvent à nous exprimer en français de cuisine [...]» Journ. des gourmands et des belles, I, 10 - P.E.
cuisine (grande -) loc. nom. f. CUIS. - GLLF, TLF, GR[85], ø d.
• haute cuisine
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1808 - «Le sauté de volaille au suprême, en filets mignons, est l'une des inventions les plus distinguées de l'âge actuel, et il appartient incontestablement à la haute cuisine. Nous en disons presqu'autant du sauté de Perdreaux aux truffes.» Grimod de La ReynièreMan. des Amphitryons, 131 (A.M. Métailié, 1983) - P.R.
cuisine parlementaire loc. nom. f. non conv.  POLIT. - PR[77], 18e ; GLLF, Acad. ; R, TLF, ø d.
*1883 - «Connaissez-vous, en effet, rien de plus répugnant que la cuisine parlementaire telle que la voient confectionner les gens qui, par état ou par curiosité, fréquentent les coulisses du Palais-Bourbon.» Le Triboulet, 28 oct., 2a - G.S.
cuisine-salle à manger loc. nom. f. HABITAT - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Faisant suite à cette pièce, se trouve la cuisine-salle à manger, et, à droite, dans cette seconde pièce, existe une troisième pièce [...]» L. DaudetLa Police politique, 210 (Denoël et Steele) - G.S.
latin de cuisine loc. nom. m. péjor. LING. - FEW (2, 1168a), DEL, 1611, Cotgr. ; GLLF, 1634, Cramail ; TLF, DHR, ø d.
1572 - «[...] une nature libre, et genereuse est plus facile à s'encliner à une science noble et liberale, qu'à une mercenaire, telle qu'on voit aujourd'huy celle des Loix, que je voyois crasseuse et par un Accurse, et Bartole, presques gens Barbares et ignorants, plutost obscurcie (avec leur gros Latin de cuysine) qu'éclaircie.» J. de La TailleLes Corrivaus, appendice, 41 (Didier, STFM) - P.E.
réveil n.m. PSYCHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1911 - «Le but final de toutes les méthodes, soit hypnothérapiques, soit psychothérapiques doit être de 'provoquer le réveil de l'individu'. Réveil nécessaire, total, complet, intégral.» Journ. de psychol., 8e année, 475 - M.C.
réveil n.m. HORLOG. "mécanisme" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791-98 - «J'ai observé avec plaisir que la pendule qui était dans l'alcôve avait un réveil, car je commençais malgré l'amour à devenir sujet à l'empire du sommeil.» CasanovaHist. de ma vie, t.4, ch. 3, 46 (1960-62) - R.R.
1803 - «Réveil, s.m. [...] t. d'horl. sonnerie pour réveiller.» BoisteDict.aussi dans : La Châtre, 1854 ; Lar. GDU, 1875 - TGLF
réveil n.m. RELIG. "assemblée religieuse des églises protestantes, destinée à raviver la foi des fidèles ; mouvement de conversion ou d'approfondissement de la foi" - DA[82] (s.v. revival), GR[85], cit. A. Daudet, 1883 ; GLLF (s.v. revival), ø d ; absent TLF.
1861 - «Nous avons un Réveil tout autour de nous, presque tous nos voisins inconvertis se joindront à notre église dans quelques semaines, on pense.» Th. Bost, in Ch.M. Bost (éd.)Les Derniers puritains pionniers d'Amérique, 218 (Paris, Hachette, 1977) - P.R.
réveil (à -) loc. adj. HORLOG. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1826 - «Je ne remarquai pas sans plaisir que la pendule qui était dans l'alcôve était à réveil Mém. du vénitien Jacques Casanova de Seingalt, t.6, ch. 2, 129 (1825-29) - R.R.
1854 - «REVEIL, s.m. [...] Machine d'horlogerie, appelée aussi réveille-matin. Une montre à réveil La ChâtreDict.aussi dans Lar. GDU, 1875 - TGLF
sel de cuisine loc. nom. m. CUIS. - GR[85], cit. Gautier, 1843 ; FEW (11, 77a), 1907, Lar. ; GLLF, TLF, ø d.
1786 - «Elle avoit eu un grand appétit ; & par goût elle s'étoit livrée à certains mets de difficile digestion, tels que des viandes salées ; elle avoit fait un long abus de café à l'eau, & particulièrement de sel de cuisine Journ. de méd., juill., 41 - P.E.
tente-cuisine n.f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1911 - «Au Canada, on explore également et c'est le Club alpin canadien qui s'en charge en instituant, pour ses membres et ses candidats, des excursions dans les Montagnes Rocheuses. Ce sont de vrais villages de tentes qu'il faut dresser pour loger tous les membres de ces expéditions au nombre de 2 à 300 personnes, d'autant plus que les Canadiens ne se refusent aucun confort ; tentes-cuisines, tentes-salles à manger, tentes pour dames, rien n'y manque.» Echo des Alpes, numéro 6, 246 - C.T.