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réinterprétation n.f. INTELL. - TLF, cit. Ruyer, 1954 ; GR[85], 20e.
1941 - «Il n'est pas superflu d'en parler ici, bien qu'il soit plutôt question de la réinterprétation d'un mythe que d'un rite magique. [...] cette influence des réinterprétations de la religion [...]» A. Métraux, trad. : P. Radin,  La Religion primitive , 29 et 59 (Gallimard) - P.E.
*1965 - «Tout se passe comme s'il y avait importation idéologique de sens, jointe à une réinterprétation adéquate, à une volonté de surmonter ses propres contradictions dans un consensus factice.» A. Griset et M. Kravetz, in Les Temps modernes, numéro 227, avr., 1899 - P.E.
réinterprétation n.f. LING.  "emploi particulier" - ø t. lex. réf. ; absent TLF sens général : DDL 28, 1941, Métraux ; GR[85], 20e ; absent TLF.
1929 - «Le résultat naturel a été une réinterprétation du 'jakanje modéré' : a est impossible, en syllabe prétonique, entre deux molles. Dans cette position se généralise i (alternance de phonèmes) ou e' (variation extragrammaticale) [...]» R. Jakobson, Remarques sur l'évolution phonologique du russe, in TCLP, vol. 2, 90 (Prague) - J.S.