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polar n.m. abrév.  de policiernon conv.  LITT.  "roman policier" - DFNC, v. 1950 (?) et cit. Audiard, 1975 ; TLF, cit. Nouv. Obs., 1968 (même texte) ; GLLF, GR[92], v. 1970 ; Lex.[75], ø d ; DMC, cit. La Croix, 1975.
*1968 - «Il [Jean-Pierre Melville] construit patiemment camouflé derrière les 'polars' de la Série Noire, une espèce de geste proustienne aussi complexe que mystérieuse, intime comme un journal.» H. Mardore, in Le Nouv. observateur, 12 août, 32 - AFC
polar n.m. abrév.  de policiernon conv.  LITT.  "roman policier" - DFNC, v. 1950 (?) et cit. Audiard, 1975 ; TLF, cit. Nouv. Obs., 1968 (même texte) ; GLLF, GR[92], v. 1970 ; Lex.[75], ø d ; DMC, cit. La Croix, 1975.
• polard
 - DFNC, ø d ; absent TLF, GR[92].
1969 - «Les 'polards', c'est ainsi que l'on nomme les romans policiers en 1966 [...]» Rheims, Dict. des mots sauvages, 27 (Larousse) - K.G.
1970 - «La plupart du temps, elles sont commak, les geôles de mes polards. Gratinées, conventionnelles !» San-Antonio, Béru-Béru, 396 (Fleuve Noir) - K.G.
1977 - «J'ai lu un polard avant de m'endormir [...]» Roland, Skidiz, 6 (Hachette, Coll. Outils) - K.G.
polar n.m. abrév.  de policiernon conv.  CIN.  "film policier" - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1974 - «[...] la télé, ça recouvre tous les bruits [...] Pouvez profiter du polar pour liquider mémé. Les coups de feu, on croira que c'est dans le poste.» Thérame, Hosto-blues, 113 (Ed. des Femmes) - K.G.