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plané n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1908 - «[...] connaître les exquises sensations de la vitesse et du plané du skieur sur la neige.» La Montagne, n° 3, mars, 130 - C.T.
1937 - «Cette étude détaillée offre des particularités nouvelles et la position en 'plané' n'a pas encore été exposée avec autant de précision, tout au moins dans les manuels français.» Ski-Sports d'hiver, n° 44, janv., 365 - C.T.
1938 - «En effet, dans la course de descente du Glockner, le temps moyen des skieurs de plané fut de 4'35 alors que celui des skieurs ordinaires atteignait 7 minutes.» La R. du ski, n° 11, déc., XIX - C.T.
plané adj. ÉCON. "planifié" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1932 - In titre : L. Laurat, Economie planée contre économie enchaînée (Paris, "Cahiers Bleus", 12°, 126 p.) - J.S.
1933 - «Le principe du capitalisme d'Etat, de l'économie dirigée, de l'économie planée a été emprunté aux bolchéviks et, sans que le but soit le même, on tente de l'appliquer.» H. Guilbeaux, Où va l'Allemagne, 11 (Mignolet et Storz) - J.S.
plané (vol -) loc. nom. m. SKI - RSp., 1939 ; absent TLF.
1930 - «La position en l'air doit être naturelle. La note pour le style dépend de la maîtrise absolue que le skieur prendra en l'air sur le corps et sur les skis. Les skis seront dans le même plan, bien parallèles ; ils quittent le tremplin horizontalement, puis sont amenés peu à peu dans une position presque parallèle à la piste de réception. On doit être bien penché en avant avec de calmes mouvements de bras. Dans de grands tremplins raides où la vitesse peut être énorme, il s'agit de pencher le corps bien en avant de façon à ce que la résistance de l'air soit la moindre possible et à ce que le sauteur soit porté par l'air comme en un 'vol plané'.» A. Couttet, A. Lunn, E. Petersen, L'Enchantement du ski, 72 (Ed. Alpina) - C.T.
saut plané loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «LE SAUT PLANÉ.» La R. du ski, n° 1, janv., 18, titre - C.T.
skieur de plané loc. nom. m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1938 - «En effet, dans la course de descente du Glockner, le temps moyen des skieurs de plané fut de 4'35 alors que celui des skieurs ordinaires atteignait 7 minutes.» La R. du ski, n° 11, déc., XIX - C.T.
vol plané loc. nom. m. AÉRON. - TLF, 1903 (même texte) ; FEW (9, 28a), GLLF, GR[85], 1907, Lar. ; TLF, 1909, Lar. ; RSp., 1912, Beaumont.
1904 - «Le vol plané. Lilienthal tenta tout d'abord le vol plané dans son jardin où il avait installé un tremplin [...] Il mourut au moment où, après avoir réalisé le vol plané, il méditait de munir l'aéroplane d'un moteur léger, c'est-à-dire d'attaquer la seconde partie du problème : le vol à voile des oiseaux de grande envergure [...]» La Vie automobile, I, 193 - A.Ré.
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