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pionnerie n.f. arg.  ARG. SCOL.  ENSEIGN. - TLF, cit. Barrès, 1896.
1881 - «On me passait la pionnerie de Robespierre, quitte à y revenir et à discuter ça plus tard, mais 'pisse-froid' appliqué à Rousseau était trop fort.» Vallès,  Le Bachelier, 75 (Ed. fr. réunis, 1955) - B.N.
pionnerie n.f. arg.  ARG. SCOL.  ENSEIGN. - TLF, cit. Barrès, 1896 (même texte).
Add.DDL 1 (1881, Vallès)
*1896 - «Il était écoeuré par ce qui paraît le plus respectable à la masse, la pionnerie : lourdeur d'esprit, vulgarité de la morale, aucune délicatesse dans le sentiment, suffisance et étroitesse.» M. Barrès, in Mercure de France, numéro 80, août, 369 - P.E.
pionnerie n.f. non conv. , péjor. CARACT. "attitude semblable à celle qu'on attribue aux pions" - DDL 1, 1881, Vallès ; TLF, cit. Barrès, 1896 ; DHR, 1896.
1873 - «J'attends encore le résultat de quelques propositions, entr'autres celle d'un directeur de "collège" [...] il se peut faire que votre ami se déguise [...] en pion pionnant de pionnerie [...].» Verlaine, Corresp., vol. 1, 315 (éd. A. van Bever, Messein, 1922-29) - K.G.