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pilon n.m. MÉD. "jambe de bois" - PR[72], 1857 ; FEW (8, 490b), ND2, 1895, Daudet.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1847 - «J'ai connu un ouvrier menuisier qui avait renoncé à l'appareil de M. Mille, parce qu'il ne pouvait travailler de son état, et qui avait repris le pilon employé pour l'amputation de la jambe dans le lieu d'élection.»Boyer, Traité des maladies chirurgicales, IV, 147 (5e éd.) - C.H.
pilon n.m. CUIS. "partie inférieure de la cuisse d'une volaille cuite" - TLF, 1751, Vadé ; FEW (8, 490b), GLLF, ND3, 1907, Lar. ; PR[73], ø d.
Add.DDL :
*1797 - «Laisse là ta poularde ; tu t'amuse [sic] à sucer un pilon [...]» Dîner et conversation d'un 500 avec un 250, in Feuilleton des spectacles, Suppl. à la Quotidienne, 7 pluviôse an V-26 janv., 3 - R.R.
pilon n.m. CUIS. "partie inférieure d'une cuisse de volaille cuite" - TLF, 1751, J.-J. Vadé.
Add.DDL 13 (1797)
*1843 - «Parbleur, chère Uphrasie, j'éprouve le besoin de tenter la fortune !... Laisse là ton pilon, je vais chercher un entremets.» Dupeuty et Cormon, Les Cuisines parisiennes, III, v - B.W.
pilon n.m. CUIS. "partie inférieure d'une cuisse de volaille cuite" - TLF, DHR, 1751, Vadé ; DDL 13, 1797 ; FEW (8, 490b), GLLF, 1907, Lar.
1603 - «A six heures, après sa panade mangé un pilon d'un poulet [...]. C'est la premiere fois que l'on l'a mis a la viande solide pour apprendre a mascher et a manger.» J. Héroard, Journ., 1, 449 (Fayard) - P.R.
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