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picador n.m. d'apr. esp. TAUROM. - TLF, 1776, Voy. Portugal ; DG, FEW (8, 470a), R, GLLF, BW6, Lex.[75], ND4, PR[77], 1788, Bourgoing ; L, ø d.
• picadore
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1892 - «LE SALON DE 1892. - Par STOP. [...] Un picadore piqué au vif.» Le Journ. amusant, 14 mai, 2c, Légende - G.S.
picador n.m. d'apr. esp. TAUROM. - TLF, 1776 [d'apr. DDL 21] ; DG, FEW (8, 470a), R, GLLF, BW6, Lex.[75], ND4, PR[77], 1788, Bourgoing ; L, ø d picadore : DDL 17, 1892, Journ. amusant
• picadero
 - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1791-98 - «[...] le taureau court à sa rencontre [de l'homme à cheval], et le picadero lui porte un coup de sa lance en l'esquivant, le taureau irrité le poursuit, et s'il n'a pas enfoncé une de ses cornes dans le ventre du cheval à la première rencontre, il la lui enfonce à la seconde, à la troisième ou à la quatrième, et souvent toutes les fois, de façon que le cheval court par l'arène perdant et traînant ses boyaux, l'inondant de son sang qui sort de ses plaies par élancements, jusqu'à ce qu'il tombe mort.» CasanovaHist. de ma vie, t. 11, ch. 3, 86-87 (1960-62) - R.R.
picador n.m. d'apr. esp. TAUROM. - DG, FEW (8, 470a), R, GLLF, BW6, Lex.[75], ND4, PR[77], 1788, Bourgoing ; L, ø d picadero : DDL 20, 1791-98, Casanova ; picadore : DDL 17, 1892, Journ. amusant
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1776 - «On lisoit encore les noms des picadores, matadores et vanderilleros, et à la fin on avoit ajouté l'avertissement suivant : 'Pour commencer le spectacle le picador N.N. combattra à cheval sans lance [...]» [Trad.] : TwissVoy. en Portugal et en Espagne, 335 (Soc. typographique) - P.E.
picador n.m. d'apr. esp. TAUROM. - TLF, 1776, Voy. en Portugal et en Espagne ; DG, FEW (8, 470a), R, GLLF, Lex.[79], PR[82], 1788, Bourgoing ; L, ø d picadero : DDL 20, 1791-98 ; picadore : DDL 17, 1892
Add.DDL 21 (1776)
*1782 - «Les taureadors, suivis chacun de leurs quatre ou six baudrilleros [sic], et les picadores à cheval vont au-devant de peur d'accident. Beaucoup d'afécionados prennent la lance de picadores, et vont s'exercer et faire éventrer leurs chevaux [...]» [B. de Guémadeuc]L'Espion dévalisé, 146-7 (2e éd., Londres, 1783) - J.S.