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pédé n.m. abrév. de pédérastenon conv. ÉROT. - E, GLLF, DFNC, GR[92], 1836 ; FEW (7, 473b), 1856, Michel ; TLF, cit. Vailland, 1973 ; Lex.[75], ø d.
• pèd - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1972 - «En tôle, c'est du courant d'aller au cul, obligé ; à force que tu tires la langue ... Après on y prend goût, quoi ... Alors dehors, tu continues ; des filles, des gars ... On doit seulement faire gaffe aux autres, parce qu'ils aiment pas ça, les pèds [...]» Bley, Lâche ton cul camarade, 138 (Pauvert) - K.G.
pédé n.m. abrév. de pédérastenon conv. ÉROT. - E, GLLF, DFNC, GR[92], 1836 ; FEW (7, 473b), 1856, Michel ; TLF, cit. Vailland, 1973 ; Lex.[75], ø d.
• pède
Compl.GR[92]
1978 - «Parfois, quand j'étais en rade et que lui allait chez son vieux pède, il me passait la clé.» Hanska, La Mauvaise graine, 206 (O. Orban) - K.G.
*1980 - «[...] il se demandait si c'était lui qui misait les mômes ou l'inverse ? Toujours la question à propos des pèdes.» Boudard, Le Banquet des léopards, 171 (La Table Ronde) - K.G.
pédé-homosexué adj. et n.m. non conv. ÉROT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1974 - «[...] il y a les boulimiques qui mangent sans arrêt [...] ceux qui ont peur d'être pédé-homosexués qui se font pas à cette idée vu que la société elle est contre et que ça les met en détresse d'être des marginaux [...]» V. Thérame, Hosto-blues, 264 (Ed. des Femmes) - K.G.
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