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ordonnance n.f. MILIT. "soldat attaché à un officier" - TLF, 1836, Balzac ; FEW (7, 397a), 1874 ; DG, ø d.
Compl.PR[73] (1849)
*1849 - «Au feu [...] il /le cheval/ se précipitait sur le danger, et comme me disait un jour l'ordonnance qui le pansait, parlant du cheval et du maître : - C'est diable sur diable. - L'ordonnance avait, je crois, raison.» P. de Castellane, Souvenirs de la vie militaire en Afrique, in R. des deux mondes, 1er sept., 3e série, 817 - A.R.-J.De.
ordonnance n.f. HIST. FR. "décret royal" - FEW (7, 396b ; sous la Restauration), de 1835, Acad. à 1858, Besch. (?) ; TLF, cit. Proudhon, 1840 ; L, ø d.
Add.DDL
*1830 - «Cette ouverture moqueuse [de Louis XVIII] fut suivie d'une ordonnance qui nommait M. de Fontaine à une place fort lucrative dans l'administration du domaine extraordinaire de la Couronne.» Balzac, Le Bal de Sceaux, in Balzac, Scènes de la vie privée, t. I, 281 (Mame, Delaunay-Vallée et Levavasseur) - M.C.E.
*1832 - «S.M. Louis XVIII [...] répara toutes les infortunes de ses fidèles serviteurs, en leur restituant tous leurs biens non vendus, par la fameuse et loyale ordonnance [de juin 1814] [...]» Balzac, La Transaction, par. I, in L'Artiste, [19 févr.], 27bpré-orig. du Colonel Chabert - M.C.E.
ordonnance n.f. MÉD. - FEW (7, 397a), R, GLLF, Lex.[75], PR[77], 1660, Oudin ; L, cit. Molière ; DG, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1558 - «[...] les malades se trouvoyent bien de ses ordonnances, et n'estoit pas filz de bonne mere qui ne venoit à ce medecin [...]» Des Périers, Nouv. récréations et joyeux devis, 221 (Champion) - P.E.
ordonnance n.f. HIST. FR. "décret royal" - DDL 16, 1830, Balzac ; FEW (7, 396b), de 1835 à 1858, Besch. (?) ; L, ø d ; absent TLF.
1814 - «ORDONNANCE de Monsieur, Lieutenant général du Royaume, qui détermine provisoirement le nombre des bâtimens de guerre et de transport qui seront conservés dans les six arrondissements maritimes. (21 avril 1814.) [Moniteur du 11 mai 1814.] [...] ORDONNANCE DU ROI portant dissolution des Equipages de haut bord. Paris, le 10 Mai 1814. LOUIS, par la grâce de Dieu, ROI DE FRANCE ET DE NAVARRE, Sur le compte qui nous a été rendu [...] Notre Conseil d'état entendu, Nous AVONS ORDONNE et ORDONNONS ce qui suit [...]» Annales maritimes et coloniales , II, 10 et 21-22 - P.E.
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