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bague (aller comme une - à un chat) loc. verb. non conv. ORGANISATION/RELATION - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
av. 1750 - «Ils veule me fere de la cademie ; sela m'iret come une bage a un chas M. de Saxe, in Lar. GDU, XIV, 303a - P.E.
1798 - «[...] aussi j' dis j'en va porter le deuil, ça m'ira comme une bague à un chat ; mais c'est égal, faut représenter pour faire honneur à la défunte.» TestardLa Bible à ma tante, 8 (Paris) - P.E.
chat n.m. FOURRURE  "fourrure d'épaule" - FEW (2, 515a), 2e moitié du 18e ; absent TLF.
1790 - «Chat de renard de Sibérie, qui se lie sur le dos [...]» Journ. de la mode et du goût, 15 déc. - Hellegouarc'h, 173.
1791 - «Chat de petit-gris, noué avec un ruban nakara [...]» Journ. de la mode et du goût, 25 févr. ; cf. 5 mars, 15 déc. - Hellegouarc'h, 173.
1792 - «Sur le col, un chat de pareille peau [...]» Journ. de la mode et du goût, 1er mars - Hellegouarc'h, 173.
chat n.m. JUST. "sorte de fouet" - ø t. lex. réf. ; absent TLF. chat à neuf queues : FEW (2, 519b), DHR, 1845, Besch. ; TLF, ø d
1792 - «Il gagna avec quelque argent des matelots qui se chargèrent de cet exploit, et promirent d'endurer toutes les tortures des battogues et du chat (espèce de fouet) plutôt que de s'avouer coupable ou de le dénoncer. [...] Le chat est une baguette à laquelle sont attachées de petites lanières, dont on frappe le dos nud de ceux de qui l'on veut tirer quelque aveu : c'est le châtiment le plus ordinaire dans le service de mer.» Anecdotes intéressantes et secrètes de la cour de Russie , t.1, 197 et t.2, 252 (Buisson) - M.C.
chat (... pas un -) loc. phrast. non conv. MESURE "(il n'y a) personne" - DDL 19, 1776, Mme Rolland ; TLF et DHR (ne pas trouver un chat), av. 1778, Volt. ; GR[85], cit. Daudet, 1869 ; GLLF, cit. Daudet ; DEL, cit. Queneau, 1943 Volt., in FEW (2, 515a), correspond à ne pas trouver un chat ; cf. TLF
1736 - «[...] car il n'y passa pas un chat, je n'y aperçus seulement pas un lièvre.» MarivauxLe Télémaque travesti, 282 - FXT
1737 - «Vous êtes tout seul de votre compagnie, et je ne vois pas un chat à vos trousses.» LesageHist. de Gil Blas, 1080 - FXT
chat (avoir un - dans la gorge) loc. verb. non conv. SANTÉ "être enroué" - FEW (2, 515a), TLF, DHR, 1835, Acad. ; BEI, 1863, Littré ; GLLF, DEL, ø d.
1829 - «[...] deux prêtres en vigiles auprès du cercueil, récitent les litanies des morts. [...] - Tu vois pas qu'il y en a un qui dort, il ronfle de bon coeur. - Il fait le serpent [ancien instrument de musique d'église] pendant que l'autre dit ses prières. - [...] tenez, mes amis, c'est l'autre qui se réveille ; écoutez donc, il a un chat dans la gorge ; il entonnerait mieux une bouteille de Bordeaux [qu'un psaume].» VidocqMém., 4, 208 (Tenon) - P.R.
chat (c'est le - !) loc. phrast. non conv. , iron.  PHRASÉOL. - FEW (2, 515b), 1845, Besch. ; L, ø d ; TLF, cit. Mirbeau, 1900 ; DG, R, GLLF, ø d.
1799 - «Savez-vous, monsieur mon neveu, que vous êtes un impertinent. - Je suis vrai, mon cher oncle. - Non, je dis, je n'ai pas d'esprit, c'est le chat : allez, monsieur, allez tailler vos plumes, et, quand j'aurai rêvé deux heures à cela, vous viendrez écrire ce que je vous dicterai [...]» Pigault-LebrunMon Oncle Thomas, IV, 167 (Barba) - P.E.
1800 - In titre : C'est l' chat, chanson nouvelle. In C. PierreLes Hymnes et chansons de la Révolution, numéro 2103* (Impr. nat.) - P.E.
1800 - «[...] que j'aie la parole à mon tour, je n'aime pas parler, non, c'est le chat et je vas leur ouvrir les yeux à tous.» Le Grand départ du père Duchêne, in [R.F. Lebois]Le Père Duchêne, [numéro 10], 5 - P.E.
1801 - «FUMERON. Crois-tu qu' ça m' fasse ben plaisir, d' te surprendre, comme ça, le matin, en rendez-vous avec ma fille ? POMMADIN. Moi ? FUMERON. Non, c'est le chat. POMMADIN. Je n' sais pas si c'est l' chat, mais c' n'est pas moi toujours.» MartainvilleL'Intrigue de carrefour, 9 (Barba) - P.E.
1802 - «On ne dit plus : c'est le chat! c'est le chinois ! c'est le etc., Tiercelin dit, dans Quel est le plus ridicule ? je ne suis pas bien tourné, non, c'est la colonne !» Guères de trois, 69-70 (Guérin) - P.E.
chat (c'est le - !) loc. phrast. iron. , non conv. PHRASÉOL. - DDL 19, 1799, Pigault-Lebrun ; FEW (2, 515b), 1845, Besch. ; L, DG, ø d ; TLF, cit. Mirbeau, 1900 ; GLLF, GR[85], ø d.
• c'est le chat qui ...
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1799 - «VIRGINIE à Jocrisse. Mais aussi, tu te corrigeras... JOCRISSE. Non, c'est le chat qui se corrigera.» HenrionLe Mariage de Jocrisse, 9 (Tiger) - P.E.
chat (entendre - sans dire/qu'on dise minon) loc. verb. PROVERBE "entendre à demi-mot" - FEW (6/II, 96a), 1611, Cotgr. ; BEI (j'entends bien minon sans dire chat), 1640 ; TLF, Littré.
Compl.L, Hu (même texte, ø d)
1587 - «Ce compere, qui entendoit bien chat sans dire minon : 'Mes amis, respondit il [...]» Cholières, Les Après-dînées, in CholièresOeuvres, II, 217 (Jouaust) - P.E.
chat (parler -) loc. verb. plais. EXPRESS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1901 - «Et j'emmène mon oncle dans ma chambre, ravie de voir qu'il apprécie le lit-bateau, et la vieille perse, et mon cher vilain petit bureau. Adroitement, il tripote et gratouille le ventre sensible de Fanchette, et lui parle chat d'une ingénieuse façon. Sûr, quoi qu'en dise Marcel, c'est quelqu'un de bien ! [...]» Colette, Claudine à Paris, in ColetteOeuvres, vol. 1, 205 (Flammarion, 1960) - M.C.
chat (pas un -) loc. adv. non conv.  MESURE  "personne" - TLF, av. 1778, Volt. ; FEW (1, 515a), Volt. ; R, GLLF, PR[77], cit. Daudet ; L, DG, ø d ; DELF, cit. Queneau ; Lex.[75], ø d.
Add.DDL :
*1776 - «Elle a une fille de quatorze ans, qu'elle élève de son mieux [...] Je voudrais la placer ; mais je ne vois pas un chat Mme RolandLet., nouv. série, I, 544 (Impr. nat.) - P.E.
chat (pas un -) loc. adv. non conv. MESURE "personne" - DDL 19, 1776, Mme Roland ; FEW (1, 515a), Volt. ; BEI, 18e ; TLF, cit. Stendhal, 1836 ; L, ø d ; GLLF, GR[85], cit. A. Daudet ; DEL, cit. Queneau.
v. 1714 - «Combien croyez-vous, mon fils, que je demeurai là ? dix mois entiers ; car il n'y passa pas un Chat, et je n'y aperçus seulement pas un Lièvre.» MarivauxLe Télémaque travesti, 282 (Droz) - P.E.
1768 - «M. LE MAIRE. Dites donc s'il est venu ici quelqu'un depuis que je vous ai quitté. M. RAPHAEL. Non, Monsieur, il n'est pas venu un chat [Carmontelle]Proverbes dramatiques, II, 187 (Poinçot) - P.E.
chat (réveiller le - qui dort) loc. verb. PROVERBE "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF. ne pas/sans - : L, 15e, Ch. d'Orléans ; GLLF, TLF, GR[85], ø d
1531 - «Gallico prouerbio dicitur, Tu reueille le chat qui dort. Id est, tu ramentois vne chose passee, & de la quelle nest nulle memoire.» R. EstienneDictionarium, 282 v° - P.E.
chat (réveiller le - qui dort) loc. verb. PROVERBE "fig." - ø t. lex. réf. ; absent TLF. ne pas/sans - : L, 15e, Ch. d'Orléans ; GLLF, TLF, GR[85], ø d
• éveiller le chat qui dort
  - BEI, 15e ; GLLF, ø d ne pas - : TLF, cit. Gourmont, 1899 ; GR[85], ø d
Corr. et compl.DEL (mêmes réf., ø d ; réveiller -)
1546 - «[...] en proverbe l'on dict : [...] esveigler le chat qui dort RabelaisLe Tiers livre, 114 (Droz) - P.E.
chat (à bon - bon rat) loc. prov. PROVERBE - BEI, 1606 ; FEW (2, 515a), 1611, Cotgr. ; L, Les Caquets de l'accouchée ; DEL, cit. Scarron [1645] ; GR[85], cit. Regnard [1697] ; TLF, cit., 1883 ; Hu, GLLF, ø d.
1596 - «A bon chat, bon rat : ce ne sont icy encor les reuers du Guysard, qui estoient sans retour, car l'un est despendant de l'autre [...]» R. MortierLe "Hochepot ou Salmigondi des folz", 108 (Bruxelles, Palais des Académies) - P.E.
chat (éveillé comme un - qu'on ...) loc. adj. non conv.  CARACT.  "rusé" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1587 - «[...] encores que de nom soyez esueillé, et que par effect ayez les yeux ouuerts, comme un chat qu'on chastre, si dormez vous dans l'ame [...]» CholièresLes Après-disnées, 6 verso (Richer) - P.E.
v. 1610 - «RAMUS. Puisque je vous vois ententif, aussi éveillé qu'un chat qu'on fesse, vous le saurez.» Béroalde de Verville, Dessein, in Béroalde de VervilleLe Moyen de parvenir, I, 51 (Delarue) - P.E.
1623 - «Bref, iour et nuict ce vieux Pourtraict / Eueillé comme vn chat qu'on fesse, / Ne parle rien que de Maistresse [...]» J. AuvrayLe Banquet des muses, 114 (Ferrand) - P.E.
1640 - «esueillé comme vn Chat qu'on foüette .i. fort fin, fort rusé, qui prend bien garde à ses affaires. vulg.» OudinCuriositez fr., 87 (Slatkine) - P.E.
chat de gouttière (laid comme un -) loc. adj. VALEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF. chat de gouttière : TLF, 1694, Acad. ; GLLF, fin 19e ; GR[85], ø d.
1595 - «Non, dict Roger, n'usez point de charmes, mon bel ami, et si il estoit laid comme un chat de goutiere, je n'ay envie de voler si haut [...]» Nouv. des régions de la lune, in Satyre Menippée, 319 (Charpentier) - P.E.
chat-huant n.m. INJURE - TLF, cit. Sand, 1853.
Add.DDL :
*1800 - «Mad. LATAILLE. Et, si je préfère Gobelin, vous n'y trouverez pas à redire ? DUBUIS. Pour le moment ; mais, après la noce, gare les gnoles : une dégelée pour le chat-huant, c'est sûr. GOBELIN. Le joli faisan !» Gouffé et DuvalCri-Cri, 15 (Barba) - P.E.
*1812 - «DUROULEAU. Veux-tu te taire, maudit chat-huant. VOL-AU-VENT. Dites donc, mam'selle Briochette, il m'appelle chat-huant BrazierVol-au-vent, 21-22 (Masson) - P.E.
chat-huant n.m. INJURE - DDL 32, 1800, Gouffé et Duval ; TLF, cit. Sand, 1853.
1738 - «GILLE. La fievre te serre, Monsieur Cassandre ; je ne connois rien de si malheureux, de si corbeau, de si chat-huant que vous.» Fagan, Isabelle, in FaganThéâtre, IV, 395 (Duchesne) - P.E.
chien (comme - et chat), chiens (comme - et chats) loc. adv. non conv.  RELAT. - L, Chron. du siège d'Orléans ; FEW (2, 515a), TLF, 1690, Fur. ; DG, ø d ; R, cit. Loti ; GLLF, Lex.[75], PR[77], DELF, ø d.
*1649 - «Parens de parens enuieux / S'entremangent le blanc des yeux ; / Le Beau-pere frotte son Gendre, / Qui le voudroit auoir vu pendre ; / Les Freres toûjours en debats / S'accordent comme chiens et chats ; / Le Fils au Pere fait la guerre, / Et le veut voir cent pieds sous terre [...]» [L. Richer]L'Ovide bouffon, I, 17 (Quinet) - P.E.
chit-chat n.m. d'apr. angl. RELAT.  VIE SOC.  "rumeur" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1836 - ChateaubriandEssai sur la litt. angl., 259 - Mackenzie, I, 212.
1843 - «Un chit-chat d'outre-Manche parvenu jusqu'à nous nous a paru digne d'obtenir une petite place dans cette Chronique La Chronique, Revue universelle, II, 138 - J.Hé.
chit-chat n.m. d'apr. angl. RELAT.  VIE SOC. "rumeur" - DDL 22, 1836, Chateaub. ; absent TLF.
• tchitt-(t)chatt
  - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1832 - «Tchitt-Tchatts. Ce mot anglais exprime tout ce qui, dans la conversation se dit sans garantie, sans importance [...] Voyons donc quels sont les tchitts-chatts que les jaseries du jour mettent en circulation.» Brid'oison, n° 1, 17 janv., 3 - P.E.
femme-oiseau n.f. SEXE ET ÂGE - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1929 - «Une sorte de femme-oiseau, vert métallique, la jambe découverte et nerveuse, traversa le morne salon carré.» ColetteLa Seconde, 139 (Ferenczi) - A.Ré.
foutée de chat (ne pas valoir une -) loc. verb. non conv. VALEUR - DFNC (hapax), cit. Blessebois, 1676 ; absent TLF.
Compl.Hu (même texte, ø d)
v. 1610 - «Il est vray, si vous le prenez selon vostre folle fantaisie, qui ne vaut pas une foutée de chat ; aussi je controlle vos sotises, et condamne vos impudences.» Béroalde de VervilleLe Moyen de parvenir, 246 (CMMC) - P.E.
langue de chat loc. nom. f. ESPACE/LIEU/FORME "par ext." - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1933 - «Mon avion prend de la hauteur. Je suis maintenant au-dessus d'une petite langue de chat, si étroite que je puis embrasser d'un seul coup d'oeil la côte de France et les falaises de Douvres, avec son château, cher à Manet, d'où Charles d'Orléans contemplait sa patrie perdue.» P. MorandLondres, II, 69 (Plon) - R.R.
oeil de chat loc. nom. m. CIN. - TLF, 1919, Diamant-Berger (même texte).
1919 - «L'oeil de chat est une fermeture métallique construite comme un diaphragme, mais extérieure à l'objectif et qui cache la vue en formant un ovale noir rétréci, jusqu'à complète fermeture.» Diamant-BergerLe Cinéma, 48 - IGLF
1921 - «L'ouverture et la fermeture de l'oeil de chat, tout cela est si amusant, n'est-ce pas ?» Delluc, in Cinéa, 27 mai, 11 - Giraud.
oiseau n.m. non conv. ÉROT. "pénis" - FEW (1, 171b), GR[85], ø d ; absent TLF.
1748 - «L'excès du plaisir les transporte, déjà l'élixir divin est prêt à couler. Alors l'amant sage, maître de ses passions, retire l'oiseau de son nid, et sa main, ou celle de sa maîtresse, achève par quelques légers mouvements de provoquer l'éjaculation au-dehors.» J.-B. de Boyer d'Argens (?)Thérèse philosophe, 610 (Laffont, Coll. Bouquins) - P.R.
oiseau (faire l'-) loc. verb. ALP.  "dévisser" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1961 - «Parti depuis une heure, tapant de toutes ses forces sur le marteau à dépitonner, gémissant, pestant contre les pitons trop solidement enfoncés, mon deuxième compagnon monte malgré tout régulièrement, quand brusquement, sans dire ouf, il fait l'oiseau : un piton sur lequel étaient fixés ses étriers, s'est arraché.» La Montagne et alpinisme, numéro 35, déc., 141 - C.T.
oiseau de crime loc. nom. m. CRIMES  "fig. : criminel" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1933 - «A Paris, après son forfait, le criminel se fait pincer dans les maisons closes ; à Londres, si l''oiseau de crime' est pris, c'est parce qu'il n'a pu résister à la tentation de se commander des vêtements neufs [...]» P. MorandLondres, II, 103-4 - R.R.
oiseau de nuit loc. nom. m. HIST. MOEURS  "personne qui vit la nuit" - FEW (7, 213b), Legras ; TLF, cit. Barron, 1882 (même texte).
*1882 - «Les porte-hottes ne ressemblent pas non plus â [sic] leurs aînés ; il n'y a plus d'études curieuses à entreprendre sur ces oiseaux de nuits ; mais l'actualité aidant, l'on peut consacrer une page à un de leurs assommoirs célèbres.» Vallès, L'Assommoir des chiffonniers, in La Vie pop., 9 avr., 100 - R.R.
*1882 - «Il est onze heures, la plupart des lits sont vides : les oiseaux de nuit ont déniché.» L. Barron, Paris étrange, in La Vie pop., 16 avr., 117 - R.R.
oiseau de paradis loc. nom. m. ORNITH. "paradisier" - Gc, FEW (7, 615ab), TLF, DHR, 1585, Franchières ; GLLF, fin 16e.
1560 - «Gesnerus en son histoire Latine des oyseaux (duquel j'ay emprunté ce pourtrait) écrit ce qui s'ensuit : Cest oyseau duquel tu vois icy la figure, s'appelle Oyseau de paradis, ou Apis Indica [...]. Depuis quelque temps on a imprimé une Carte à Noremberg, avec la figure de cest oyseau semblable à cestuy que tu vois icy depeinct : laquelle Carte nous a esté envoyée avec ces mots : L'oyseau de paradis, autrement nommé Apis Indica, ou Martinet des Indes, est de la grandeur d'une grive [...].» P. BoaistuauHistoires prodigieuses, 270 (Club français du livre, 1961) - P.E.
oiseau de prime loc. nom. m. ORNITH. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1874 - «Oiseau qui passe au printemps [...]» A. DaudetRobert Helmont, 157 (Dentu) - Michel, 128 (autres ex. en 1888, 1897).
oiseau-cloche n.m. ORNITH. - Ls, 1873 ; absent TLF.
1835 - «On rencontre dans les forêts de la Guyane un oiseau fort célèbre chez les Espagnols sous le nom de campanero ou oiseau-cloche Le Magasin pittoresque, vol. 3, 205 - A.Ré.
pas de chat loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1936 - «Pour finir, une fissure avec un 'pas de chat'.» La Montagne, numéro 280, juin, 263 - C.T.
pas du chat loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1939 - «De la brèche rejoindre une première corniche en traversant vers la droite un 'pas du chat' (bonnes prises pour les mains).» La Montagne, numéro 310, oct., 230 - C.T.
1941 - «Un gros gendarme, qui domine cette brèche à l'Ouest, marque la bifurcation des arêtes Nord-Ouest et Sud-Ouest. Nous le contournons par le Nord en nous faufilant dans une sorte de 'Pas du Chat', pour prendre pied sur son large flanc Sud, point de départ du contrefort Sud-Ouest.» La Montagne, numéro 316, janv.-mars, 3 - C.T.
queue du chat loc. nom. f. DANSE  "figure du quadrille français" - FEW (2, 525b), 1835, Acad. ; L, DG, ø d ; absent TLF.
Add.DDL :
*1822 - «Cette taille adorable, dont la flexibilité, en balançant ou en faisant la queue-du-chat, laissait présager les plus délicieux contours, n'est qu'un corps sec, jaune, revêtu d'une peau grenue...» [P. Cuisin]Les Bains de Paris, I, 122-3 - J.Hé.
queue du chat loc. nom. f. DANSE  "figure du quadrille français" - FEW (2, 525b), 1835, Acad. ; L, DG, ø d ; absent TLF.
• queue de chat
 - absent TLF.
Add.DDL :
*1822 - P. CuisinLe Peintre des coulisses, 172 (François) - Matoré, 146.
queue du chat loc. nom. f. DANSE "figure du quadrille français" - DDL 22, 1822, Cuisin ; FEW (2, 525b), 1835, Acad. ; L, DG, ø d ; absent TLF.
1813 - «SCENE I. Le chef d'orchestre dit à diverses reprises d'une voix forte. La camargo ....... le moulinet ....... en avant quatre ....... un cavalier seul ....... la queue du chat ....... (la contredanse finit.)» AudeM. de la Giraudière, 29 (Masson) - P.E.
queue du chat loc. nom. f. DANSE "figure du quadrille français" - DDL 31, 1813, Aude ; FEW (2, 525b), 1835, Acad. ; absent TLF.
• queue de chat
  - DDL 22, 1822, Cuisin ; absent TLF.
1804 - «La danse est une invention du diable. Geste, entrechats [...] queues de chat y sont autant de pièges pour la jeunesse.» M.-A. DésaugiersC'est ma femme, 4 (Cavanagh) - P.E.
queue-de-chat n.f. ACCESS.  "sorte de plume" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1827 - «[...] les plumes rondes, dites queue-de-chat [sic] [...]» Mme CelnartMan. des dames ou L'Art de la toilette, 336 (Roret) - M.C.E.
étrangle-chat n.m. JEUX - absent TLF.
Corr.FEW (12, 289b) (1869, Daudet)
1866 - «[...] puis les jeux sur l'aire, les luttes d'hommes, les trois sauts, l'étrangle-chat, le jeu de l'outre, et tout le joli train des fêtes de Provence [...]» DaudetLet. de mon moulin, 193 (Jean de Bonnot, 1976) - A.Ré.