Police de caractères:

Surligner les objets textuels
Colorer les objets :
 
 
 
 
 
 

Entrez une forme

options d'affichagecatégorie :
mnésique adj. PSYCHOL. - GLLF, 1938 ; absent TLF.
1931 - «Qui garde le souvenir.» Garnier et DelamareDict. des termes techniques de méd. (10e éd., Maloine) - J.Gh.
mnésique adj.  PSYCHOL.  PSYCHANAL. - DDL 20, 1931, Garnier-Del. ; GLLF, 1938 ; GR[85], mil. 20e ; Lex.[79], ø d ; in Dabout [1924].
1923 - «[les impressions affectives venues de l'intérieur de l'individu] émanées de l'Inconscient, deviennent préconscientes (c'est-à-dire conscientes latentes, susceptibles d'être, quand il le faudra, éclairées par la Conscience) par association avec des représentations verbales appropriées, qui sont, elles, des résidus mnésiques A. Hesnard, Les récents enseignements psychologiques de Freud, in L'Encéphale, sept.-oct., 526 - M.C.
1923 - «Dans presque chaque cas il [Breuer] constata que les symptômes étaient comme des résidus, pour ainsi dire, d'expériences émotives que, pour cette raison, nous avons appelées plus tard traumas psychiques ; leur caractère particulier s'apparentait à la scène traumatique qui les avait provoqués. Selon l'expression consacrée, les symptômes étaient déterminés par les scènes dont ils formaient les résidus mnésiques, et il n'était plus nécessaire de voir en eux des effets arbitraires et énigmatiques de la névrose.» Y. Le Lai, trad. : FreudCinq leçons sur la psychanalyse, 42 (Payot) - M.C.
résidu mnésique loc. nom. m. PSYCHANAL.  "trace mnésique" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1923 - «[les impressions affectives venues de l'intérieur de l'individu] émanées de l'Inconscient, deviennent préconscientes (c'est-à-dire conscientes latentes, susceptibles d'être, quand il le faudra, éclairées par la Conscience) par association avec des représentations verbales appropriées, qui sont, elles, des résidus mnésiques A. Hesnard, Les récents enseignements psychologiques de Freud, in L'Encéphale, sept.-oct., 526 - M.C.
1923 - «Dans presque chaque cas il [Breuer] constata que les symptômes étaient comme des résidus, pour ainsi dire, d'expériences émotives que, pour cette raison, nous avons appelées plus tard traumas psychiques ; leur caractère particulier s'apparentait à la scène traumatique qui les avait provoqués. Selon l'expression consacrée, les symptômes étaient déterminés par les scènes dont ils formaient les résidus mnésiques, et il n'était plus nécessaire de voir en eux des effets arbitraires et énigmatiques de la névrose.» Y. Le Lai, trad. : FreudCinq leçons sur la psychanalyse, 42 (Payot) - M.C.