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mimi n.m. non conv. T. AFFECTION - TLF, 1823, Sand [d'apr. DDL 18] ; AD, BW5, ø d.
*1828 - «[...] son épouse était sa cha-chatte, lui le gros moutard. - Le petit cousin était gugu et les enfants - lolo - mimi - popo [...]» Les Omnibus. Premier voy. de Cadet-la-Blague, 13 - A.B.
*1828-29 - «Ah ! pauvre petite Mimi, disait-elle [...]» Vidocq, Mém. de Vidocq, III, 242 (Tenon) - IGLF
*1867 - «[...] pourquoi donc ces névralgies dans ta caboche, mon mimi ? Ce sont des migraines, n'est-ce pas ?» Flaubert, Corresp., V, 281 (Conard) - CRTLF
Compl.PR[72] (Flaubert)
*1869 - «[...] il fut blessé par cette parole. - 'Qu'a donc le mimi ? On est triste ?'.» Flaubert, L'Education sentimentale, I, 194 (Les Belles Lettres) - CRTLF
mimi n.m. non conv. T. AFFECTION - TLF, 1823, Sand [d'apr. DDL 18]
*1837 - «Tiens, mimi, couvre-toi donc [...]» Balzac, Hist. de la grandeur et de la décadence de César Birotteau, t. 4, ch. 1, 133b (Ed. du Seuil) - Trav. Ling. et Litt., 10, 138.
mimi n.m. non conv. T. AFFECTION - DDL 5, PR[77], 1828 ; R, GLLF, 1869, Flaubert ; Lex.[75], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1823 - «Bonsoir, mon amour, mon cher petit mimi, je vais me coucher et pleurer toute seule dans mon lit.» G. Sand, Corresp., I, 109 (Garnier) - P.E.
mimi n.m. rég. ENTOMOL. "pou" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1895 - «Que de fois ai-je et n'ai-je pas entendu de bonnes gens du cru appeler ces lestes et trop lestes, animalcules, des 'mimis' !» Verlaine, Oeuvres en prose complètes, 447 (Pléiade) - D.P.
mimi n.m. T. AFFECTION "pour un chat" - Lex.[79], v.1800 (?) ; TLF, 1851, Feuillet ; FEW (6/II, 94a), GLLF, 1903, Lar. ; GR[85], ø d.
1808 - «Ah ! Dieu, mon pauvre Raton (le caressant), viens, mon mimi, baise ta maîtresse.» Vilers-Vermont, Wilvoll de Sottenbourg, I, 87 (Fréchet) - P.E.
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