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blanc meunier loc. nom. m. COULEUR - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1903 - «La gamme des marrons [...] tons bamboula (tête de nègre), pain brûlé, truffe, bistre [...] antilope, mousmé, caféier [...] pampas, Epernay [...] blancs craie, meunier et ivoire, crème-cire. Joignez à cela les bleus Orient, source, cristal, glacier ; les roses frésias, Manon, cathléya, mousseuse [...]» La Mode illustrée, 470 - A.Ré.
gris-meunier n.m. OENOL. "vin de Loire" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «En vérité, le vin était presque pur, un 'gris-meunier' fruité, framboisé, avec ce rien d'amertume qui tout ensemble calmait la soif et redonnait l'envie de boire [...]» Genevoix, La Loire, Agnès et les garçons, 117 (Presses de la Cité) - A.Ré.
meunier n.m. ORNITH. - GLLF, ø d ; absent TLF.
1767 - F. Salerne, L'Hist. nat. éclaircie dans une de ses parties principales, l'Ornithologie, 88 (Paris) - R. L. rom., 44, 233.
1842 - «MEUNIER. s.m. [...] Nom vulgaire de quelques oiseaux.» Complément Acad.aussi dans La Châtre, 1854 - TGLF
1874 - «Ornith. Nom vulgaire d'une espèce de perroquet et d'une espèce de corbeau.» Lar. GDUaussi dans Guérin, 1892 - TGLF
meunier n.m. VITIC. - TLF, 1832, Raymond ; FEW (6/III, 36b), GLLF, GR[85], 1836, Acad., Suppl. ; L, ø d.
Add.DDL :
*1751 - «Il y a plusieurs sortes de morillons, connuës presque par-tout [...] Le raisin précoce, ou raisin de la madelaine, est appelé morillon hâtif [...] Le Morillon Taconne est meilleur que le précédent pour faire du vin, et vient bientôt après le hâtif, charge beaucoup et fait beaucoup de vin. On le nomme aussi meûnier [...]» [Aubert de la Chesnaye des Bois], Dict. univ. d'agric. et de jardinage, II, 119b (David) - P.E.
meunier n.m. VITIC. - DDL 30, 1751 ; TLF, 1832, Raymond ; FEW (6/III, 36b), GLLF, GR[85], 1836, Suppl. Acad. ; L, ø d.
1700 - Nouv. Maison rustique, II, 277 - R. L. rom., 52, 515.
noyer le meunier loc. verb. CUIS. - FEW (7, 75b ; rég.), 1907-09 ; absent TLF.
1751 - «Quand le tout est bien délayé, on forme la pâte du reste de la farine ; mais sur-tout on doit prendre garde de ne point mettre trop d'eau, de peur que la farine ne manque, ce qui s'appelle noyer le Meûnier.» [Aubert de la Chesnaye des Bois], Dict. univ. d'agric. et de jardinage, II, 4b (David) - P.E.
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