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lock-outer v.tr. ÉCON.  POLIT. - GLLF (lockouter), DA[82], DHR, DDM, 1908, d'ap. Mackenzie ; DAH, 1934 ; TLF, cit. Nouv. Obs., 1966 ; DMC, cit. Le Figaro, 1967.
Absol. 
1929 - «La rentrée a été merveilleuse ; les chefs étaient piteux, les ouvriers ne se sentaient pas vaincus. Depuis, un patron a voulu lock-outer pour débaucher les meilleurs éléments ; il a dû y renoncer, tous les ouvriers étant sortis de nouveau, et ayant exigé la rentrée de tous.» G. Goujon, in La Révolution prolétarienne, n° 77, 1er avr., 104b - P.E.
lock-outé p./adj. SOCIOPOLIT. - DAH, 1907 ; DA[82], cit. 1962 ; DMC, cit. Le Figaro, 1967 n.m. : FEW (18, 80a), DA[82], 1902 ; DAH, 1910 ; TLF, cit. Aragon, 1936 ; -er, v.tr. : GLLF, Lex.[79], DA[82], 1908 ; DAH, 1934 ; Rs, PR[82], mil. 20e ; TLF, cit. Nouv. Observateur, 1966
*1950 - «Le protocole signé par les représentants du personnel lock-outé devra consacrer que 'la grève a rompu le contrat de travail'.» Esprit, numéro 6, juin, 1052 - P.E.