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chausson de lisière loc. nom. m. CHAUSS. - FEW (15, 313a), 1867 ; DG, R, PR[77], ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1830 - «[...] les chaussons de lisière ont la grande vogue.» La Mode, janv., 95 - M.C.E.
*1833 - «[...] le pas lourd d'une vieille femme qui traînait péniblement des chaussons de lisière [...]» Balzac, Hist. des treize, I, Ferragus, chef des Dévorans, par. III, in R. de Paris, mars, 326 - M.C.E.
*1842 - «[...] le meurtrier portait des chaussons de lisière [...]» Balzac, Les Deux frères, II, ch. XI, t. II, 181 (Souverain)orig. de La Rabouilleuse - M.C.E.
*1842 - «[...] ses chaussons de lisière en lambeaux cachent à peine ses pieds bleuis [de froid] [...]» E. Sue, Les Mystères de Paris, IV, ch. IV, t. III, 356 (Gosselin) - M.C.E.
chausson de lisière loc. nom. m. CHAUSS. - TLF, 1830, La Mode ;FEW (15, 313a), 1867 ; DG, R, PR[77], ø d.
• chausson de lisières - L, 1867 ; GLLF, ø d ; absent TLF.
1843 - «[...] les Chevaliers sortirent alors en silence pour rentrer chacun chez eux en serrant les murailles sans faire le moindre bruit, chaussés qu'ils étaient de chaussons de lisières.» Balzac, Les Célibataires : Un ménage de garçon, in Balzac, La Comédie humaine, t. VI, 169 (Furne, Dubochet et Hetzel)2e éd. de La Rabouilleuse - M.C.E.
lisière n.f. TISS. - PR[67], ND2, 1268, E. Boileau ; L, DG, BW5, 13e ; Gc, FEW (5, 313a), 1316 lissiere : Gc, 1248
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1244 - «On ne doit tistre nule traimme qui soit pinié en estaint taint en cuve, et, s'on li tist, il doit estre ars, fors noire brunete sanz lisiere en noir taint en chaudiere ou bien brun pers retaint sanz lisiere.»In Fagniez, Doc. relatifs à l'hist. de l'industrie et du commerce en France, depuis le 1er s. av. J.-C. jusqu'à la fin du 13e s., I, 151 (A. Picard) - J.Ki.
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