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huit heures (journée de -) n.f. ÉCON.  ORGAN. - GLLF, TLF, GR[85], ø d.
1900 - «Avec tout cela, allez-vous demander, que devient la fameuse formule de la journée de huit heures ? - Elle ne devient rien. Millerand s'en fout !» E. PougetLe Père Peinard, 28 janv., 160 (Galilée) - P.E.
journée (toute la sainte -) loc. phrast. non conv.  TEMPS - TLF, cit. Journ. des Halles, 1790 (même texte) ; GLLF, DELF, mil. 19e, Baudelaire ; FEW (11, 150a), 1875, Lar. ; Lex.[75], cit. Gobineau ; R, cit. R. Rolland ; PR[77], ø d.
1790 - «[...] celui qui va toute la sainte journée courir le pavé de Paris, qui dîne ben, va ensuite motionner dans un caffé, faire la belle jambe au Palais-royal et va le soir reluquer les femmes [...]» Journ. des Halles, numéro 2, 4 - P.E.
journée continue loc. nom. f. ORGAN. - PR[82], DMC, av. 1960 ; GLLF, 1961, Le Figaro ; TLF, cit. Le Monde, 1965 ; Rs, cit. J. Dutourd [1967] ; Lex.[79], ø d.
1929 - «Cet in-quarto recto-verso contient, en trois paragraphes, tous les avantages que représenterait l'application de la journée continue La Révolution prolétarienne, numéro 76, 15 mars, 91a - P.E.
1957 - «Tout changea, en effet, dans la vie de Mme R..., le lundi 16 avril 1956. Ce jour-là, le Ministère du Travail se transforma en laboratoire et ses fonctionnaires se transformèrent en cobayes. L'expérience tentée avait pour titre : 'La semaine de cinq jours et la journée continue.' Les fonctionnaires, rompant avec la tradition, bouleversaient leurs horaires. Ils ne travailleraient plus de 8 h à midi et de 14 h à 18 h avec une interruption de 2 h pour déjeuner comme dans la plupart des entreprises. Le nouvel horaire, adopté après référendum par 78 % d'entre eux, supprimait le travail du samedi matin et réduisait à 3/4 d'heure la durée du déjeuner.» Constellation, numéro 111, juill., 127-8 - M.K.
journée de travail loc. nom. f. ÉCON. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1791 - «On entend par là le salaire qu'un ouvrier reçoit communément pour le travail d'une journée. Le prix commun de la journée varie suivant les localités ; il n'est pas le même dans tous les départements, ni même dans tous les districts du même département [...]» GautierDict. de la Constitution (Paris) - LTP
journée-alpiniste n.f. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1966 - «Durant ces mêmes années, on peut estimer la fréquentation de la montagne aux environs de 300 000 journées/alpinistes (estimation obtenue en interprétant le nombre de nuits passées dans les refuges du C.A.F.).» La Montagne et alpinisme, numéro 58, juin, 275 - C.T.
journée-ski n.f. ENSEIGN. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1958 - «Ils [les cours scolaires de ski] ont totalisé en deux mois et demi de fonctionnement près d'un millier de journées-ski La Montagne et alpinisme, n° 16, févr., 185 - C.T.