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ipséité n.f. PHILOS. - TLF, 1840, P. Leroux ; Rs, GLLF, Lex.[79], 1943, Sartre.
1815 - «L'ipséité de la parole, la parole même [...] Premièrement-en-principe, il-créa, AElohim [...] l'ipséité-des-cieux et-l'ipséité-de-la-terre.» A. Fabre d'Olivet, La Langue hébraïque restituée , vol. 1, 76 et vol. 2, 25 et passim (Impr. Eberhart) - J.S.
ipséité n.f. PHILOS. - DDL 26, 1815, Fabre d'Olivet ; TLF, GR[85], 1840, Leroux.
Au 20e - GLLF, TLF, 1943, G. Bataille ; DHR, 1943, Sartre. 1942 - «La vraie punition des farceurs, c'est la perte de leur ipséité : comme ils ne sont plus ni ce qu'ils sont et qu'ils ensevelissent dans le silence, ni ce que les autres croient qu'ils sont et qu'ils ne sont que par escroquerie, il faut conclure qu'ils ne sont plus rien du tout.» V. Jankélévitch, Du Mensonge, 37 (Confluences) - P.E.
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