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instit n.m. abrév. de instituteurnon conv. ENSEIGN. MÉTIER - Lex.[75] [1975], ø d ; TLF (n.), cit. Le Monde, 1981.
Compl.GR[92]
1966 - «Beaucoup de ces pensionnaires sont des enseignants, des 'pédagos, instits, ou profs', comme dit M. Mollet, qui se souvient d'avoir lui-même enseigné l'anglais avant de faire son métier de la politique.» J. Derogy, in L'Express, 22 août, 12 - AFC
instit n.f. abrév. de institutricenon conv. ENSEIGN. MÉTIER - Lex.[75] [1975], ø d ; TLF (n.), cit. Le Monde, 1981 ; GR[92], cit. Nouv. Obs., 1981.
1972 - «Vous avez des potes, à Arcachon ? - Non, une tante, qu'est 'instit' ... [...]» Blier, Les Valseuses, 100 (Laffont) - K.G.
instit n.f. abrév. de institutricenon conv. ENSEIGN. MÉTIER - Lex.[75] [1975], ø d ; TLF (n.), cit. Le Monde, 1981 ; GR[92], cit. Nouv. Obs., 1981.
• instite - ø t. lex. réf. ; absent TLF, GR[92].
1976 - «[...] il y a l'instite des classes de neige en service vingt-quatre heures sur vingt-quatre pendant un mois, c'est astreignant les classes de neige, qu'elle dit [...]» Thérame, La Dame au bidule, 296 (Ed. des Femmes) - K.G.
1978 - «Il était gaucher alors l'instite l'oblige à écrire de la main droite comme tout le monde.» Hanska, La Mauvaise graine, 55 (O. Orban) - K.G.
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