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asthéno-hypersthénique adj. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1917 - «Le deuxième accès asthéno-hypersthénique post-apoplectique qui s'est manifesté chez notre malade, est survenu chez un homme qui depuis deux ans environ offrait des symptômes d'affaiblissement intellectuel. L'état maniaque ou hypomaniaque, surajouté à la démence, à l'aphasie et à la dysarthrie, a persisté durant près de cinq mois, puis, à la suite d'un nouvel ictus, le patient est décédé.» Drs R. Benon et M. Leinberger, Apoplexie, asthéno-manie, aphasie, in Annales médico-psychol., 45 - M.C.
hypersthénique adj. MÉD. - TLF, 1826, Broussais [d'apr. DDL 12] ; GLLF, 1962, Lar.
*1845 - «S'il y a lieu de soupçonner l'existence d'une congestion hypersthénique, il convient de remplacer l'écorce d'orange par quarante-cinq à soixante grammes de sulfate de soude.»Journ. de méd. et de chir. pratiques, XVI, 255 - C.H.
hypersthénique adj. MÉD. - DDL 8, 1845 ; GLLF, 1962, Lar.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1826 - «Les Italiens modernes [...] entendent par diathèse une disposition générale du corps vivant à éprouver des affections hypersthéniques ou asthéniques, c'est-à-dire par excès ou par défaut de force. [...] Leurs diathèses, leurs processus, sont beaucoup trop généralisés et considérés d'une manière trop vague et trop abstraite. Leur hypersthénie et leur asthénie ou hypothénie sont mal distribuées dans les maladies.» F.J.V. Broussais, in Encycl. progressive, 191 - P.E.
hypersthénique n. PSYCHOPATHOL. - TLF, cit. Le Gendre, 1924 ; GR[85], ø d.
1911 - «[...] pour établir l'existence d'un état hyperpathique, il faudrait montrer que l'hyperpathique s'épuise plus vite que l'hypersthénique, et cela est naturellement plus difficile que de comparer l'apathique, qui peut faire des dépenses de force nerveuse longtemps prolongées, à l'asthénique, dont l'épuisement nerveux survient très tôt.» J. Tastevin, L'asthénie post-douloureuse et les dysthénies périodiques, in Annales médico-psychol., II, 32 - M.C.
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