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gueulard n.m. MAR. - E, GLLF, Lex.[75], PR[77], 1917 ; FEW (4, 312b), 1930, Lar.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1904 - «Gueulard m. (Mar.) Der Rufer, das Grosse Sprachrohr. Large speaking-trumpet.» E. von Hoyer et F. Kreuter, Dict. technologique fr.-all.-angl., 375 (Wiesbade [sic], Bergmann) - P.E.
gueulard adj. non conv. VALEUR "fig." - GLLF, av. 1880, Flaubert ; Lex.[79], ø d ; absent TLF.
1853 - «Ce morceau des Barbares me paraît d'ensemble très pompeux, lyrique et gueulard.» Flaubert, Corresp., 3, 115 (Conard) - P.W.
sourd-gueulard adj. non conv. EXPRESS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1959 - «[...] j'ai cru reconnaître enfin la bonne acoustique où pouvoir jeter ma chanson de délivrance... et chaque fois, j'ai dû ravaler, remanier, refondre... résultat : une tonalité accordée un peu trop au cirque sourd-muet, sourd-gueulard de la prison.» A. Sarrazin, Journ. de prison 1959, 185 (Ed. Sarrazin, Livre de poche, 1972) - K.G.
1965 - «[...] le cirque sourd-muet, sourd-gueulard de la prison.» A. Sarrazin, La Cavale, 458 (Pauvert, Livre de poche) - K.G.
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