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fortin-guérite n.m. FORTIF. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «[...] le soir d'été se changeait en nuit au-dessus d'un fortin-guérite construit par les Allemands à l'angle du jardin.» Malraux, Le Miroir des limbes, 94 (Pléiade, 1976) - A.Ré.
guérite n.f. MOBIL.  "fauteuil" - TLF, cit. Farrère, 1907 ; R, ø d.
1888 - «Par analogie, guérite est devenue [sic] un terme de tapissier. Elle [sic] désigne un siège généralement en osier, muni d'une capote également en osier, et destinée à abriter la personne assise, contre le soleil et le vent. Cette dernière sorte de guérite est, de nos jours, un meuble de jardin. On en fait également usage sur les plages, à l'époque des bains de mer. Parfois on la garnit intérieurement d'étoffes et de draperies.» Havard, Dict., t. IIce qu'il ajoute au sujet des siècles antérieurs concerne la réalité et non le mot - M.C.E.
1902 - «Blottie dans une guérite Louis XV [dans le salon de la mère Barman] [...]» Willy, Claudine en ménage, 96 (Mercure de France) - M.C.E.
Corr.FEW (17, 526b), GLLF (1907, Lar.)
*1908 - Le Lar. pour tous - M.C.E.
*1908 - «Jerseys rouges, jerseys bleus, culottes troussées, sandales ; - cloches de paille, bérets, charlottes de lingerie ; seaux, pelles, pliants, guérites ...» Colette Willy, Les Vrilles de la vigne, En marge d'une plage blanche, 178 (La Vie paris.) - M.C.E.
guérite (fauteuil -) loc. nom. m. MOBIL.  "fauteuil" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1902 - «Affalé vis-à-vis de moi, dans un grand fauteuil-guérite [...]» Willy, Claudine en ménage, 178 (Mercure de France) - M.C.E.
loup de guérite loc. nom. m. non conv.  MILIT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1829 - «Il est rusé, ce vieux loup de guérite ! s'écria Corentin [...]» Balzac, Les Chouans, VII, 1018 (Pléiade, 1950)