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grimpeur n.m. CYCL. - GLLF, déb. 20e ; PR[73] (néol.), ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1919 - «B. est un as, B. est un grimpeur, B. est un écureuil [...]» Vélo-Sport, 26 juill. - Lapaille, 10.
1919 - «Wautier est un grimpeur émérite [...]» Vélo-Sport, 29 juill. - Lapaille, 10.
grimpeur d'artificielle loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «Layton Korr, en brillant grimpeur d'artificielle, s'est trouvé là dans son élément, il a mené tout le rempart sans l'aide de pitons à expansion.» La Montagne et alpinisme, numéro 62, avr., 44 - C.T.
grimpeur d'assaut loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1962 - «Les huit grimpeurs d'assaut se divisèrent en deux groupes.» La Montagne et alpinisme, numéro 40, déc., 312 - C.T.
grimpeur de base loc. nom. m. ALP.  "qui se trouve en bas" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1943 - «La courte échelle est un procédé très simple utilisé pour gravir un court ressaut sans prises [...] Procéder généralement de la manière suivante : - un grimpeur (dit grimpeur de base) s'installe de façon stable, en s'amarrant au rocher ; - il se baisse en se maintenant autant que possible écarté de la paroi à gravir ; - le grimpeur de tête place les pieds sur les épaules (près du cou) du grimpeur de base Pourchier et FrendoLa Technique de l'alpinisme, 107 (Arthaud) - C.T.
grimpeur de calcaire loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1970 - «D'autres semblaient avoir acquis laborieusement ce sens [...] Il est d'ailleurs intéressant de noter que les grimpeurs de calcaire l'ont presque toujours alors que chez les grimpeurs de granit c'est relativement rare.» La Montagne et alpinisme, numéro 79, oct., 327 - C.T.
grimpeur de garde loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «Nous appellerons grimpeur de garde celui qui assure la corde d'un compagnon - soit d'en haut, soit d'en bas. [...] deux importantes manoeuvres de corde qui reposent sur l'emploi des pitons. Ce sont : 1. La traction latérale [...] 2. La traction directe ou vers le haut, avec contre-appui des pieds et traction antagoniste du grimpeur de garde. » Man. d'alpinisme, 83 et 168 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
grimpeur de granit loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1970 - «D'autres semblaient avoir acquis laborieusement ce sens [...] Il est d'ailleurs intéressant de noter que les grimpeurs de calcaire l'ont presque toujours alors que chez les grimpeurs de granit c'est relativement rare.» La Montagne et alpinisme, numéro 79, oct., 327 - C.T.
grimpeur de rochers loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1874 - In titre : Mayne-Reid, Les grimpeurs de rochers. Suite du chasseur de plantes (Bibl. rose), ap. Catalogue J. Gendrault, IX - C.T.
1900 - «L'ascension de l'Aiguille Doran est une agréable course de grimpeurs de rochers R. alpine, numéro 10, oct., 273 - C.T.
grimpeur de tête loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1934 - «[...] deux importantes manoeuvres de corde qui reposent sur l'emploi des pitons. Ce sont : 1. La traction latérale [...] 2. La traction directe ou vers le haut, avec contre-appui des pieds et traction antagoniste du grimpeur de garde. A l'aide de cette manoeuvre, d'ailleurs fort délicate et fatigante, le grimpeur de tête, ayant dépassé le dernier piton, peut se maintenir en équilibre à un niveau plus élevé sans avoir besoin d'aucune prise de main.» Man. d'alpinisme, 168 (Chambéry, Libr. Dardel) - C.T.
1943 - «La courte échelle est un procédé très simple utilisé pour gravir un court ressaut sans prises [...] Procéder généralement de la manière suivante : - un grimpeur (dit grimpeur de base) s'installe de façon stable, en s'amarrant au rocher ; - il se baisse en se maintenant autant que possible écarté de la paroi à gravir ; - le grimpeur de tête place les pieds sur les épaules (près du cou) du grimpeur de base.» Pourchier et FrendoLa Technique de l'alpinisme, 107 (Arthaud) - C.T.
grimpeur solitaire loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «L'alpinisme solitaire est difficile à justifier, mais on peut lui reconnaître une utilité pratique. Le grimpeur solitaire sait qu'il ne peut pas compter sur la corde en cas de chute et, en conséquence, il fait bigrement attention pour ne pas tomber.» R. alpine, vol. 26, numéro 2, 61 - C.T.
maître-grimpeur n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1886 - «M. Leslie Stephen appelait les Alpes le champ d'exercice et de divertissement (play-ground) de l'Europe. Il aurait pu ajouter que, dans ce colossal gymnase, il y a telle division plus spécialement destinée aux débutants, telle autre aux maîtres-grimpeurs et aux amateurs de première force : celle-ci, c'est le massif du Pelvoux.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1885, 509 (Paris) - C.T.
non grimpeur, non-grimpeur adj. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1909 - «Cette voie [chemin de fer de la Jungfrau] transporte les touristes non grimpeurs dans la haute montagne plus loin qu'ils ne le demandent.» Echo des Alpes, numéro 8, 288 - C.T.
non grimpeur, non-grimpeur n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1929 - «Laissons donc, une fois pour toutes, les chalets-hôtels aux non grimpeurs [...]» La Montagne, numéro 5, sept., 307 - C.T.
super-grimpeur n.m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1967 - «Il n'est pas souhaitable que l'extrême spécialisation due à la fréquentation assidue des grandes écoles d'escalade artificielle aboutisse à ne produire que des super-grimpeurs passe-partout, qui ne seraient en fait que des super-gymnastes.» BessièreL'Alpinisme, 82 (P.U.F.) - C.T.