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granule n.m. PHARM. "très petite pilule" - TLF, DHR, 1858, Goncourt ; FEW (4, 238b), GLLF, 1866, Littré.
1845 - «Granules de digitaline [...]. Ces granules [...] pourront être administrés à la dose de 4 à 6 dans les 24 heures. Cette formule, dans laquelle il n'entre uniquement que du sucre comme excipient, n'est qu'une variété de pilules, qui offre le triple avantage d'un dosage facile, d'une administration agréable et d'une solubilité rapide et complète ; solubilité qui manque souvent aux pilules en raison de réactions entre les divers excipients qu'on y fait entrer.» A. Bouchardat, Annuaire de thérapeutique [...] pour 1845, 76 (Baillière) - M.C.E.
1855 - «Aujourd'hui à la Pharmacie centrale on prépare [...] toutes les substances énergiques (acide arsénieux, alcaloïdes, etc.) sous forme de granules.» F. Dorvault, L'Officine, 237b (4e éd., Labé) - M.C.E.
1858 - «En pharmacie, le granule est une dragée composée de sucre et de gomme, ne contenant le plus ordinairement qu'une portion très-petite du remède, 1 milligramme, par exemple, sur 10 centigrammes de sucre : on compte les granules pour arriver à une dose forte.» Nysten, Dict. de méd., de chir., de pharm. (11e éd., Baillière) - M.C.E.
granule n.f. PHARM. "très petite pilule" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.n.m. : TLF, DHR, 1858, Goncourt ; FEW (4, 238b), GLLF, 1866, Littré.
1886 - «Les poudres granulées de M. Mentel [...] ; ce sont des granules de la grosseur d'un grain de millet au plus, préparées [sic] à la manière des anis de Flavigny.» F. Dorvault, L'Officine, 434b (11e éd., Asselin et Houzeau) - M.C.E.