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gogol n.m. arg. ARG. SCOL. INTELL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
av. 1954 - «Claude-Edmonde Magny nous apprend ce que ses amis, de Normale ou de la Sorbonne, appellent un gogol. Exemple : - Vous avez lu Les Frères Karamazov ? - Oui, j'aime beaucoup Gogol. Bref, 'un gogol' est un coq-à-l'âne par ignorance. - Il y a, dit Claude-Edmonde, des 'topo-gogols', où l'on décrit un événement qui se serait passé au croisement de deux routes qui ne se rencontrent pas, des 'chrono-gogols'...» Maurois, Choses nues, 200 (Gallimard, 1963) - J.S.
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