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gamay n.m. VITIC. - L (cit.), GLLF, TLF, GR[85], 1816, Jullien ; FEW (4, 49a), Littré ; Lex.[79], ø d.
• gamet - GLLF, TLF, Lex.[79], GR[85], 1775, Liger ; FEW, Maison rustique ; L, ø d.
Add.DDL :
*1751 - «Les principales especes de raisins, les plus estimées, les plus ordinaires ou les plus étenduës, soit pour le jardin, pour le vin ou pour le verjus, sont les morillons, et entre autres les pineaux, les chasselats, les muscats, les corinthes, les malvoisies, les bourguignons, les bourdelais, les san-moireaux ou prunelles, les meliers, les gamets, les gouais. [...] Le gamet est un raisin fort commun, qui charge beaucoup, et vient mieux que tout autre ; mais le vin en est fort petit, de peu de saveur, et son plan dure peu d'années. Il y a le gamet blanc et noir : on appelle du vin grossier du gros gamet.» [Aubert de la Chesnaye des Bois], Dict. univ. d'agric. et de jardinage , II, 119b et 122b (David) - P.E.
gamay n.m. VITIC. - L (cit.), GLLF, TLF, GR[85], 1816, Jullien ; FEW (4, 49a), Littré.
• gamet - DDL 30, 1751 ; GLLF, TLF, GR[85], 1775, Liger ; FEW, Mais. rustique ; L, ø d.
1690 - Furetière, Dict. univ. , (s.v. raisin) - R. L. rom., 52, 515.
gamay n.m. VITIC. - GLLF, TLF, GR[85], 1816, Jullien ; FEW (4, 49a), Littré.
• gamés - ø t. lex. réf. ; absent TLF. gamet : DDL 34, 1690, Fur. ; GLLF, TLF, GR[85], 1775, Liger
1728 - «Il seroit a propos de dire icy que dans toute cette grande etenduë de vignobles il ne crôists qu'une seule espéce de raisins, qu'on apelle Noirins, dont les grains sont noirs étant meûrs & tout ronds ; la plaine & les arrieres côtes ne produisent qu'un raisin dont les grains sont plus gros & ronds un peu en long, qu'on nomme Gamés.» Mr. Arnoux, Dissertation sur la situation de Bourgogne, 27 (Londres, Impr. S. Jallasson) - M.C.
gamay n.m. VITIC. - GLLF, TLF, GR[85], 1816, Jullien ; FEW (4, 49a), Littré.
• gamé - FEW (rég. Suisse), ø d ; absent TLF.
1767 - «La Persagne, le Gamé, & beaucoup d'autres raisins très-communs dans le Lyonnois & le Beaujolois, sont des plus aqueux : je ne cite que ceux-là, parce que les noms varient dans chaque Province. Il seroit à souhaiter que quelques amateurs fissent une collection exacte de toutes les especes de plants que l'on cultive en France, afin que les cultivateurs pussent s'entendre les uns & les autres dans la nomenclature.» Abbé Rozier, Mém., présenté au concours de la Soc. Royale d'Agriculture de Limoges, année 1767 , 21, note 8 (Lyon, Libr. Frères Perisse, 1770) - M.C.
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