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demi-féerie n.f. SPECT. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1890 - «Aux Folies-Dramatiques, malgré les dépenses faites pour donner à l'Egyptienne l'attrait d'une demi-féerie, il a fallu, devant l'évidence des chiffres, se hâter de chercher une combinaison nouvelle.» Le Journ. amusant, 6 déc., 2b - G.S.
féerie n.f. THÉÂTRE "genre dramatique" - GLLF, GR[85], 1823 ; FEW (3, 432b), 1829, Boiste ; TLF, cit. Mallarmé, 1874 ; L, ø d.
1755 - «[...] jamais la féerie n'aurait dû paraître sur le théâtre de la Comédie-Française [...] Le premier qui ait eu ce tort avec la nation, de mettre une féerie sur la scène de la Comédie-Française, est M. de Saint-Foix [...] On vient de donner sur le théâtre de la Comédie-Française une petite pièce de féerie en vers et en un acte, intitulée Zélide, dont l'auteur se nomme M. Renout.» Grimm, etc., Corresp. litt., philos. et critique, III, 41-42 (Garnier) - P.E.
1762 - «[...] ce M. Marin, qui avoit, encor, quelques autres drogues en un acte à faire siffler. La Fleur d'Agathon, petite féerie, étoit une de ces pièces qu'il a retirées.» Collé, Journ. hist. inédit, 248 (Mercure de France) - P.E.
1781 - «28 Novembre 1781. Les sujets de féerie en général sont froids. On ne peut guère s'intéresser pour des personnes au-dessus de la condition humaine [...] La piece de ce genre, exécutée avant-hier aux Italiens, étoit moins propre qu'une autre à réussir [...]» Mém. secrets, XVIII, 158 (Adamson) - P.E.
1788 - In titre : [Audinot], Le Prince noir et blanc, féerie en deux actes, mêlée de dialogues, de musique et de danses (Paris, Cailleau, in-8) - P.E.
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