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freudisme n.m. Anthroponymesur S. FreudPSYCHANAL. - FEW (3, 780a), GLLF, ND3, 1930, Lar. ; PR[73], 1946.
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Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
*1915 - «Le Bierisme (oserions-nous dire), le Kroepelinisme, le Freudisme sont en médecine ce que le Schopenhauerisme (ouf !), le Kantisme sont en philosophie, le Wagnerisme en musique, le Nietzschéisme en littérature. 'Leur science de seconde main, dit Verhaeren des Allemands, est excellente pour attirer les hommes médiocres, et toutes les petites Universités de province peuvent se donner l'illusion d'être remplies de savants.'» P. Voivenel, in Mercure de France, n° 417, 1er sept., 47 - P.E.
*1922 - «Quant à ce que pense du freudisme notre science officielle, je l'ignore encore et je ne me permettrai pas d'en préjuger.» F. VandéremLe Miroir des lettres, V, 91 (Flammarion) - P.E.
freudisme n.m. Anthroponymesur S. FreudPSYCHANAL. - DDL 12, TLF, GR[85], 1915, P. Voivenel ; FEW (3, 780a), GLLF, Lex.[79], 1930, Lar.
1913 - «Voici quelle a été la genèse du freudisme : Freud est parti des études qu'il avait faites, après avoir reçu l'enseignement de Charcot et de Bernheim, en collaboration avec J. Breuer, sur l'origine affective et traumatique de l'hystérie (1895).» A. Hesnard, La théorie sexuelle des psycho-névroses (Psycho-analyse de Freud), in Journ. de méd. de Bordeaux, numéro 24, 15 juin, 383 - M.C.
1913 - «Dans l'histoire du freudisme et du rôle que l'école psychoanalytique de Zurich y aura joué, cet opuscule [de Bleuler] aura sa bonne place marquée.» Arch. de psychol., t.13, 194 - M.C.
1914 - «[...] pour les [psychopathies de la conscience claire] traiter sans rien mettre en oeuvre qui rappelle les pratiques hypnotiques ou le freudisme, sans faire appel le moins du monde au psychisme inférieur du malade [...]» A. Leclère, Un cas de traitement psychothérapique du bégaiement, in Journ. de psychol., 11e année, 241 - M.C.
1915 - «Il y a également une psychologie religieuse qui se tire de la psychologie de Freud ; il y a même une esthétique et une critique littéraire qui la prennent pour point de départ et il y a aussi une morale qui s'en dégage [...] mais il est bien évident que l'intérêt particulier de ces applications ne doit pas nous dissimuler le caractère hypothétique du freudisme G. Dumas, Qu'est-ce que la psychologie pathologique, in Journ. de psychol., 12e année, 86-87 (1915-17) - M.C.
*1922 - «A l'heure où le freudisme devient à la mode et, par la voie des philosophes, des romanciers ou même des chroniqueurs, arrive plus ou moins travesti jusqu'au grand public, on ne peut s'empêcher de remarquer l'indifférence sinon la méfiance que lui témoignent pour la plupart nos aliénistes. Certes Régis et M. Hesnard ont été chez nous des vulgarisateurs de la première heure, certes plusieurs cliniciens se divertissent à faire dans leurs loisirs quelques essais de psycho-analyse, et le travail récemment publié par Dupré et M. Trepsat démontre qu'il y réussissent.» M. Leroy, in Journ. de psychol., 19e année, 756 - M.C.