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coin (être frappé au - de) loc. verb. ÊTRE "fig. : être remarquable par" - BEI (marqué -), 17e ; TLF, cit. Las Cases, 1823 ; L, GLLF, 1865 ; GR[85], DEL, ø d - au bon coin : BEI (marqué -), 1690, Fur. ; TLF, av.1772, Piron ; FEW (3, 762b), 1835, Acad. ; L, ø d
1587 - «[...] je gageroie [...] que vous pensez que celles qu'on tient honnestes et dames d'honneur ne soient frappées au coin de la caquetoire !» Cholières, Les Après-dînées, in Cholières, Oeuvres, II, 214 (Jouaust) - P.E.
frappé n. ACT. OBJET  "personne qui a été frappée" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1773 - «Tandis qu'elle est dans cet état perplexe, et que par distraction elle n'a plus les ieux à sa guérite, elle entend assener sur les fesses de PLACIDE une claque resonante ; le Frapé pousse un cri : DELIEE sans se déconcerter, lui dit en soupirant : - C'est pour vous aprendre à me faire endêver.» Restif de La Bretonne, Le Ménage parisien, part. 2, ch. 15, 198 (Coll. 10/18, 1978) - R.R.
frappé n.m. ARCHÉOL. "copie obtenue par empreinte ou par tamponnage" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1829 - «J'ai continué la copie du décret de Phtha, d'après les frappés en papier qu'on m'apportait du temple.» J.-F. Champollion, Let. et journ., 194 (Christian Bourgois) - P.R.