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fourragère n.f. COST. MILIT. - Ls, R, GLLF, BW6, Lex.[75], ND4, PR[77], 1872, Journ. offic.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1850 - «Le cordon dit fourragère sera désormais considéré comme simple ornement. Il ne sera point porté en campagne, ni dans les marches, manoeuvres ou gardes.» Arrêté royal du 5 mars, déterminant l'uniforme des carabiniers et des chasseurs à pied, in Journ. milit. officiel, 87 (Bruxelles) - M.C.E.
1850 - «FOURRAGERE. 97. Composée d'un double cordon rond, tressé, en laine jonquille, muni de deux passants-coulants et terminé par un oeillet, à ses extrémités réunies. Il se joint, par un noeud coulant, à un cordon suspenseur, aux extrémités duquel sont fixés deux disques, dits miroirs, ornés chacun d'un gland à franges, attachés ensemble, sur une même ligne horizontale, et se recouvrant l'un l'autre à moitié. Le cordon suspenseur est muni d'un passant-coulant et d'un oeillet. [...] 98. La fourragère s'attache au bouton de l'épaulière gauche, par l'oeillet des miroirs ; prend entre ses deux cordons le cou, contre lequel elle est fixée devant et derrière par un passant-coulant ; descend ensuite sur le dos, jusqu'au bord inférieur du ceinturon, du côté droit, et revient par devant s'accrocher au même bouton.» Description de l'uniforme des carabiniers et des chasseurs à pied, annexe à l'arrêté royal du 5 mars, in Journ. milit. officiel, 99 - M.C.E.
Corr.FEW (3, 660b) (1877, Lar.)
*1878 - Lar. GDU, Suppl. 1 - M.C.E.